LETTRE N°66 – LES TRANSCENDANTALISTES, R.W. EMERSON, H.D. THOREAU ET LA THEOSOPHIE
Juillet – Août 2022
La prochaine Lettre paraîtra début septembre 2022, elle aura pour thème : La loi de correspondance et d’analogie.
Vidéo : « Les Transcendantalistes, R.W. Emerson, H.D. Thoreau et la Théosophie » - Chaîne YouTube
Audio : « Y a-t-il une Gnose ou Sagesse Universelle » Chaîne YouTube
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Vidéo en anglais : « La Sur-Âme d’Emerson et la Théosophie » et « Henry David Thoreau : la redécouverte de la Sagesse ancienne ».
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PENSÉE DU MOMENT
La Théosophie dit : « Sortez des rangs et soyez séparés ». Emerson ajoute : « Ce que je dois faire c'est tout ce qui me concerne, et non ce que les gens pensent. Cette règle, qui est aussi difficile à appliquer dans l'existence que dans la vie intellectuelle, peut servir comme base de jugement pour distinguer entre la vraie grandeur et la médiocrité. Elle est d'autant plus difficile que vous trouverez toujours des gens qui pensent savoir mieux que vous quel est votre devoir. Il est facile dans le monde de vivre en suivant l'opinion du monde, il est aisé dans la solitude de vivre selon votre propre opinion ; mais, l'homme vraiment grand est celui qui, au milieu de la foule, conserve l'indépendance de la solitude avec une parfaite égalité d'âme. » « À cause de votre non-conformité », ajoute Emerson, « le monde vous cingle du fouet de son mécontentement ».
Emerson nous a donné un avis plein de sagesse, et qui devrait servir d'avertissement : « Les extrêmes se touchent, et il n'y en a pas de meilleur exemple que le dénuement hautain et orgueilleux de l'humilité. »
Emerson dans son essai sur la confiance en soi (« Self-Reliance ») nous dit : « Quiconque désire être un homme doit être un non-conformiste. » ‒ « Ce qui, en vous, s'oppose à ce que vous vous conformiez aux usages qui sont devenus choses mortes pour vous c'est que vous dispersez ainsi votre force : ce conformisme vous fait perdre votre temps et trouble l'impression de votre caractère ».
H.D. Thoreau écrit : « Soyez un [Christophe] Colomb pour des continents, des mondes entiers à l’intérieur de vous ; ouvrez des nouvelles voies non pas pour le commerce mais pour la pensée ». « Mon expérience m’apprit ceci, que si l’on avance en toute confiance en marchant vers ses rêves, si l’on s’efforce de vivre la vie que l’on s’est imaginée, l’on sera couronné d’un succès d’ordinaire fort inattendu… on franchira une frontière invisible ; de nouvelles lois universelles et plus libérales commenceront à s’établir autour et à l’intérieur de [vous]… la solitude ne sera plus solitude … si vous avez bâti des châteaux dans les airs, votre œuvre ne sera pas perdue : c’est là que les châteaux doivent être. Posez maintenant sous eux leurs fondations ». Walden, traduction J. Mailhos – éd. Gallmeister.
CŒUR DE LA THÉOSOPHIE
Une vision généreuse de l’humanité
Se prendre en main – Une conception profonde de l’homme
« Il y a un moment dans l'éducation de tout homme où il arrive à la conviction que l'envie est ignorance, l'imitation suicide ; qu'il doit se prendre en main, pour le meilleur et pour le pire, et accepter ce qui lui arrive. Il découvre que, bien que l'univers soit plein de bon, aucun grain de nourriture ne peut venir jusqu'à sa bouche à moins qu'il donne tout son effort au lopin de terre qu'il appartient à lui seul de labourer. Le pouvoir qui réside en lui est un élément nouveau dans sa nature, et nul autre que lui ne peut savoir ce qu'il est capable d'en faire ; et lui-même ne le saura pas tant qu'il n'aura pas essayé.
« Il nous faut lutter contre et blâmer la médiocrité tranquille et paresseuse, et le sordide contentement ambiant, et se rappeler que pour vaincre nos inerties, dans tous les domaines du commerce et du travail, cet enseignement qui a été prouvé tout au long de l'histoire, qu’il y a en tout homme un grand Penseur et Acteur qui est responsable et toujours à l'œuvre ; c’est l’homme véritable qui n'appartient à aucun lieu ni à aucune époque particulière, qui est là au cœur de tout ce qu’il fait.
« Il est aisé de se rendre compte qu'une plus grande confiance en soi — un respect nouveau pour la divinité qui est en l'homme — doit provoquer une révolution dans tous les domaines et les relations entre les hommes, dans leur religion, leur éducation, leurs préoccupations, leurs modes de vie, leur association, leur propriété, leurs vues spéculatives. » ‒ citation d’Emerson, extraite de l’article de B.P. Wadia « La confiance en soi ».
Sur le corps humain
« Mais comment notre corps physique est-il arrivé à l’état de perfection dans lequel nous le trouvons maintenant ? Par des milliers d’années d’évolution, bien entendu, mais jamais par son passage à travers l’animalité, comme l’enseigne le matérialisme, car, ainsi que l’a dit Carlyle : … « L’essence de notre être, le mystère en nous qui s’appelle « Je », quels mots avons-nous pour l’exprimer ? C’est un souffle du Ciel ; l’Être suprême se révèle dans l’homme. Ce corps, ces facultés, cette vie que nous possédons, tout cela n’est-ce pas comme un vêtement pour CE QUI n’a pas de nom ? »
Le « souffle du Ciel » ou plutôt le souffle de vie, appelé dans la Bible Néphesh, est dans chaque animal, dans chaque particule animée, dans chaque atome minéral. Mais aucun de ces êtres ou choses n’a, comme l’homme, conscience de la nature de cet « Être suprême (*) », aucun n’a, dans sa forme, cette harmonie divine que possède l’homme. Novalis l’a dit ci personne depuis ne l’a mieux répété que Carlyle :
« Il n’y a qu’un temple dans l’univers : c’est le corps de l’Homme. Rien n’est plus sacré que cette forme élevée… Nous touchons le ciel lorsque nous mettons la main sur le corps humain ! Ceci paraîtra peut-être une simple fleur de rhétorique ; il n’en est rien. Si l’on y médite bien, on trouvera que c’est un fait scientifique, l’expression… de la vérité de la chose. Nous sommes le miracle des miracles – le grand Mystère incompréhensible… (**). »
(*) Il n’y a pas de nation sur la terre chez laquelle le sentiment de dévotion ou de mysticisme religieux soit plus développé et plus en évidence que chez le peuple hindou. Voir ce qu’écrit Mas Müller, dans ses œuvres, sur ce point particulier. Ce sentiment est un héritage direct des premiers hommes conscients de la Troisième Race. (**) Lectures on Heroes.
Extrait de La Doctrine Secrète, trad. Courmes-BNF (The Secret Doctrine, I, p. 212, éd. originale 1888).
Sur la dévotion
« Et même aujourd’hui, ces Brahmanes savent que durant les commencements de cette Race, l’intelligence psychique et physique étant encore en sommeil et la conscience n’étant pas encore développée, les conceptions spirituelles n’étaient nullement liées à l’ambiance physique ; que l’homme divin habitait dans sa forme animale – quoiqu’extérieurement humaine – et que s’il existait en lui de l’instinct aucune soi-conscience ne venait illuminer l’obscurité du Cinquième Principe qui était latent. Lorsque « les Seigneurs de Sagesse », mus par la loi d’évolution, infusèrent en lui l’étincelle de la conscience, la première sensation qui se prit à vivre et agir en lui fut un sentiment de solidarité, d’unité avec ses créateurs spirituels. Comme la première sensation de l’enfant est pour sa mère et sa nourrice, les premières aspirations de la conscience éveillée dans l’homme primitif furent pour ceux dont il sentait l’élément en lui, et qui étaient pourtant en dehors et indépendants de lui. La DÉVOTION naquit de cette sensation et devint le moteur premier et principal de la nature humaine, car c’est le seul qui soit naturel en notre cœur, qui lui soit inné et que nous trouvions également chez l’enfant et chez le jeune animal. Cette sensation d’aspiration irrépressible et instinctive chez l’homme primitif est décrite d’une splendide façon, d’une façon intuitive pourrait-on dire, par Carlyle [dans son ouvrage Past and Present] lorsqu’il s’écrie :
« Le grand cœur antique, combien, dans sa simplicité, il ressemble à un enfant, et, dans sa profondeur sérieuse et solennelle, à un homme ! Le ciel est partout au-dessus de lui, où qu’il voyage, où qu’il réside, et lui fait de la terre entière un temple mystique, et de toutes les affaires terrestres une sorte de culte. Des visions de glorieuses créatures brillent dans la lumière ordinaire du soleil ; les anges planent encore, portant parmi les hommes les messages de Dieu… La merveille, le miracle, entourent l’homme : il vit dans un élément de miracle (*) … Une grande loi de devoir, haute comme ces deux infinis (le ciel et l’enfer), rapetissant et annihilant tout le reste – c’était une réalité, et c’en est une ; le vêtement seul en est mort ; son essence existe à travers les temps et l’éternité. »
(*) Ce qui semblait naturel à l’homme primitif est devenu maintenant miracle pour nous ; et ce qui pour lui était miracle ne pourrait s’exprimer dans notre langage.
Extrait de La Doctrine Secrète, trad. Courmes-BNF (The Secret Doctrine, I, p. 210, ed. 1888).
La quête de la Vérité
« Homme, connais-toi toi-même », on n'a plus jamais enseigné une vérité plus grande ou plus importante. Sans cette perception, l'homme restera toujours aveugle pour beaucoup de vérités relatives, et d'autant plus pour la vérité absolue. L'homme doit se connaître lui-même, c'est-à-dire acquérir les perceptions inférieures qui ne trompent jamais, avant de pouvoir se rendre maître d'une vérité absolue […] Mais si l'on veut s'approcher ne fut-ce que de vérités terrestres, il faut tout d'abord aimer la vérité pour elle-même, car sans cela on n'arrivera jamais à la découvrir. Et qui, en notre âge, aime la vérité pour elle-même ? Combien d'entre nous sont prêts à la rechercher, à l'accepter et à la mettre en pratique, dans une société où tout ce qui veut atteindre au succès, doit être bâti sur les apparences, et non sur la réalité, sur l'affirmation personnelle, et non sur la valeur intrinsèque ? […]
« La Vérité », s'écriait Carlyle, « la Vérité, même si le ciel m'écrasait pour la suivre ; pas de mensonge, même si tout Royaume céleste était le prix de l'Apostasie ». Voilà de nobles paroles. Mais combien pensent, combien osent parler comme Carlyle, dans notre siècle ? La grosse majorité écrasante ne préfère-t-elle pas le « paradis des vauriens », le pays de Cocagne de l'égoïsme sans cœur ? » ‒ Extrait de l’article de H.P. Blavatsky « Qu’est-ce que la Vérité ? »
Le Transcendantalisme, R.W. Emerson, H.D. Thoreau et la Théosophie
« Le mouvement transcendantaliste a profondément influencé tout l’imaginaire américain. C’étaient des artistes, des philosophes, des poètes qui ont vécu au 19ème siècle, dans les années 1830-1840 et jusqu’aux années 1850. Leurs deux principaux représentants furent Ralph Waldo Emerson, né en 1803 et mort en 1882, et Henry David Thoreau né en 1817 et mort en 1862. C’est un mouvement littéraire, philosophique et spirituel qui fait écho à la Théosophie, 30 à 40 ans avant qu’Helena Blavatsky ne publie ses différents opus et ne popularise la pensée théosophique.
« Emerson avait une vision panthéiste du monde. Il affirme dans Nature l’existence d’un lien intime entre Dieu et le monde. Si l’homme vit en contacte et respecte l’harmonie de la nature, sa propre vie prend plus de sens, il se transforme positivement, et il devient semblable à un « œil transparent » entièrement en unité avec son environnement. Ça change complètement les choses de revenir à cet état complètement naturel. Une maxime très connue d’Emerson résume parfaitement sa pensée : "I am part and parcel of God" – « Je suis une partie du divin ». Cette idée, commune aux théosophes, affirme que chaque individu est une fraction de l’Âme Universelle, qu’il parcourt un grand cycle de réincarnations successives, gagne en expériences et évolue jusqu’à pouvoir réintégrer et faire grandir la Sur-Âme universelle (Over-soul en anglais) dont il est issu.
« Les transcendantalistes nous interpellent car ils furent des exemples qui nous ont montré comment vivre sa vie en restant fidèles à la grande œuvre divine universelle et à la connaissance initiatique. Ils furent des exemples d’un engagement résolu dans le monde, de prises de positions courageuses et de la volonté d’éveiller toutes les consciences à la fraternité et à l’épanouissement individuel. » ‒ Extraits de la note « Les Transcendantalistes Ralph Waldo Emerson, Henry Thoreau et la Théosophie ».
LA CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)
Réenchanter la nature et l’humanité
Comment rendre sa vie sublime ?
« H.D. Thoreau signalait qu’il y avait des artistes dans la vie, des personnes qui peuvent changer la couleur d’un jour et en faire quelque chose de magnifique pour tous ceux avec lesquels ils sont en contact. Comme dans tous les arts, nous affirmons qu’il y a des adeptes, des maîtres de la vie qui la rendent divine. N’est-ce pas le plus grand art, que de pouvoir affecter l’atmosphère même dans laquelle nous vivons ? Que ceci soit le plus important se comprend immédiatement, quand nous nous souvenons que chaque personne qui respire la vie affecte l’atmosphère mentale et morale du monde, et aide à colorer la journée de ceux qui sont autour de lui. Ceux qui n’aide pas à élever les pensées et les vies des autres doivent par conséquence soit les paralyser par leur indifférence, soit les tirer fortement vers le bas. Quand ce point est atteint, l’art de vivre est converti en art de la mort ; et nous voyons un magicien noir à l’œuvre. Personne ne peut rester tout à fait inactif.
« [Si chacun] s’efforçaient d’apprendre l’art de rendre la vie non seulement plus belle mais divine, et faisaient le vœu de ne plus être entravé par l’incrédulité en un possible miracle, et pouvait commencer immédiatement la tâche herculéenne, alors, même [les conditions défavorables seraient] positivement attirée par l’étoile brillante [de Vénus-Lucifer, l’l’Esprit dans l’homme]. La joie ou la prospérité ne sont pas toujours les meilleures conditions pour nous qui sommes en majorité des mortels non-développés ; elles apportent rarement la paix, qui est la seule joie permanente. […] La paix du mental philosophique est très différente [des plaisirs du monde] et elle peut être atteinte aussi bien dans la vie quand on a peu goûté le plaisir, que quand on en est saturé.
« Les transcendentalistes américains ont découvert que la vie peut être rendue sublime sans l’aide de circonstances ou de sources extérieures. Evidemment ceci a été découvert de nombreuses fois avant eux, et Emerson n’a fait que reprendre le cri lancé par Epictète. Mais chaque homme doit découvrir ceci à nouveau et par lui-même, et quand il a réalisé cela il sait qu’il restera malheureux s’il ne s’efforce pas de faire de cette possibilité une réalité dans sa vie. Le stoïque devient sublime parce qu’il a reconnu sa responsabilité absolue et n’essaie pas d’y échapper ; le transcendentaliste va plus loin, parce qu’il a foi dans l’inconnu et dans les possibilités nouvelles qui résident en lui. L’occultiste reconnaît pleinement la responsabilité et ne réclame son titre qu’après avoir testé et acquis la connaissance de ses propres possibilités. » ‒ H.P. Blavatsky ; extrait de l’article « 1888 ».
La quête d’union à la Sur-Âme universelle
« Plotin, l'élève d'Ammonius ― « l'instruit de Dieu », nous dit que la gnose secrète ou la connaissance de la Théosophie, a trois degrés : l'opinion, la science et l'illumination. « Le moyen d'atteindre la première, ou l'instrument pour l'acquérir, c'est la sensation ou la perception ; pour atteindre la seconde, c'est la dialectique ; pour la troisième, c'est l'intuition. La raison est subordonnée à cette dernière, car l'intuition est la connaissance absolue, fondée sur l'identification du mental avec l'objet connu ». La Théosophie est, pourrait-on dire, la science exacte de la psychologie […]. Elle développe en l'homme une vision directe ; ce que Schelling dénomme « une réalisation de l'identité entre le sujet et l'objet dans l'individu » ; de telle sorte que, sous l'influence et grâce à la connaissance d'Hyponia, l'homme nourrit des pensées divines, voit toutes les choses comme elles sont en réalité, et finit par « devenir le réceptacle de l'Ame du Monde », pour employer une des plus belles expressions d'Emerson. « Moi, l'imparfait, j'adore le Parfait, qui est moi-même », dit-il dans son superbe Essai sur la Sur-Âme. En plus de cette psychologie ou étude des états d'âme, la Théosophie cultivait toutes les branches scientifiques et artistiques. Elle connaissait parfaitement ce que nous appelons communément de nos jours, le mesmérisme.
« Les Théosophes rejetaient la théurgie pratique ou « magie cérémonielle », à laquelle le clergé Catholique Romain a si souvent recours dans ses exorcismes. Jamblique, seul, surpassant les autres Eclectiques, ajouta la doctrine de la Théurgie à la Théosophie. L'homme, ignorant de la véritable signification des symboles divins ésotériques de la nature, est susceptible de confondre les pouvoirs de l'âme et d'attirer à lui les forces sombres et mauvaises qui rôdent autour de l'humanité ― créations sinistres et tenaces des crimes et des vices humains ― au lieu de communier spirituellement et mentalement avec les êtres célestes supérieurs, avec les bons esprits (les dieux des théurgistes de l'École Platonicienne) ; il peut tomber ainsi de la Theurgia (magie blanche) dans la Gœtia (magie noire ou sorcellerie). […] La pureté dans les actes .et les pensées peut seule nous mettre en rapport « avec les dieux » et nous conduire au but que nous désirons atteindre ». – H.P. Blavatsky, extrait de l’article « Qu’est-ce que la Théosophie ? » (Cahier Théosophique n°7).
ARTICLES ET DOCUMENTS
Il est proposé à la lecture (pour en savoir plus) :
- Lettre n°61 : Les grands initiés et leur message à travers le monde.
- Lettre n°59 : Comment se réinventer dans le monde d’aujourd’hui ?
- Lettre n°54 : Comment vivre en harmonie avec les animaux ?
- Lettre n°45 : La conscience collective ou la réalisation plus vraie du SOI
- Lettre n°14 : La conscience planétaire : à quels niveaux ?
- Lettre n°8 : La non-violence.
- Article de H.P. Blavatsky : « 1888 ».
- Article de H.P. Blavatsky : « Qu’est-ce que la Théosophie ? » (Cahier Théosophique n°7).
- Article de H.P. Blavatsky : « Qu’est-ce que la Vérité ? »
- Article de H.P. Blavatsky : « La chute des idéaux ».
- Article de W.Q. Judge : « Le besoin le plus urgent de notre société ».
- Note autre auteur : « Les Transcendantalistes Ralph Waldo Emerson, Henry D. Thoreau et la Théosophie ».
MÉDIATHÈQUE
Vidéo : « Les Transcendantalistes, R.W. Emerson, H.D. Thoreau et la Théosophie » - Chaîne YouTube
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Site YouTube d’Universal Theosophy (deux vidéos avec sous-titrages en Français possible)
Vidéo en anglais : « La Sur-Âme d’Emerson et la Théosophie » et « Henry David Thoreau : la redécouverte de la Sagesse ancienne ».