LETTRE N°50 – LA MORT ET AU-DELÀ
Novembre – Décembre 2019
La prochaine Lettre paraîtra début janvier 2020. Elle aura pour thème : La naissance spirituelle.
Vidéo : « La Théosophie et le Livre des morts tibétain »
Audio : Conférence : « La mort et l’expérience des mourants »
Audio : Conférence : « L’itinéraire de l’âme après la mort ».
Programme des activités – Page de la LUT de Paris sur Facebook
PENSÉE DU MOMENT
« Quand un être meurt, c'est son cerveau qui s'éteint en dernier lieu. La vie y est encore active, alors même que l'homme a été déclaré mort. À ce moment, l'âme passe en revue tous les événements passés, et elle en saisit la portée globale ; la tendance moyenne de l'être apparaît en lumière et l'espoir dominant de la vie se montre à la conscience. L'arôme final de toute cette revue forme la note tonique de l'existence du devachan (l’état intermédiaire entre deux incarnations). » – Les Échos de l’Orient, Textes Théosophiques, p. 104.
« Seul s’est élevé au-dessus des nécessités, seul s’est affranchi de toute tutelle, seul est libre, celui qui vit après avoir achevé sa vie. [..] La patrie de l’âme, c’est l’enceinte qui embrasse l’univers jusqu’à ses confins les plus reculés. » - Sénèque, Apprendre à vivre, (Lettres XXXII & CII).
CŒUR DE LA THÉOSOPHIE
Qu’est-ce qui survit après la mort ?
Y-a-t-il survivance du corps physique ou du mental ?
« L'homme est un être spirituel, et […] immortel. L'Ego profond [l’âme spirituelle qui se réincarne] de chaque homme est immortel, « a existé de tout temps, existera toujours et ne pourra jamais cesser d'exister » ; apparaissant à intervalles successifs, et réapparaissant, revêtu d'un corps à chaque fois différent, il donne seulement l'impression d'être mortel ; cependant, il reste toujours le fondement et le soutien de la personnalité qui agit sur la scène de la vie. Et dans ces apparitions sous une forme mortelle, les questions […] concernant les conditions prénatales et post mortem, sont pour l'homme d'un intérêt vital car, selon qu'il connaît ou ignore les réponses à leur sujet, sa pensée et son comportement comme acteur sur la scène de la vie changeront ; et il n'est pas moins nécessaire pour lui d'avoir cette connaissance de manière à pouvoir vivre en apportant son aide au grand mouvement ascendant de la vague évolutive. » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 29.
« Toute leur vie n'est qu'une recherche ininterrompue sur la trace de l'âme au vol rapide - elle qui, sous des apparences immobiles, peut aller plus vite que l'éclair ; et leur mort n'est qu'un nouveau pas en avant vers une connaissance plus vaste, qui sera gagnée dans des corps physiques meilleurs, au cours d'existences nouvelles. » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 76.
Nécessité de l’expérience de la vie et but du pèlerinage de l’âme
« La vie de l'âme est sans fin et ne peut être arrêtée un seul instant. L'abandon du corps physique n'est que la transition vers un autre lieu ou plan d'existence. […] Si les molécules qui composent le corps physique n'étaient pas sujettes aux lois chimiques générales qui gouvernent la terre physique, nous vivrions aussi longtemps dans notre corps physique que dans l'état dévachanique. Mais une telle vie d'efforts et de souffrances ininterrompus suffirait à entamer l'âme contrainte à l'endurer. Le plaisir deviendrait alors une souffrance et la satiété finirait en folie immortelle. Aussi la nature, toujours bienfaisante, nous ramène-t-elle rapidement au ciel pour nous reposer et laisser fleurir ce qu'il y a de meilleur et de plus noble dans notre nature. » – W.Q. Judge, L’Océan de Théosophie, p. 120.
« La vie de l'homme est envisagée comme un pèlerinage, non seulement du berceau à la tombe, mais aussi durant l'immense période qui couvre des millions et des millions d'années, depuis le commencement jusqu'à la fin d'un manvantara, ou période d'évolution : l'homme étant tenu pour un être spirituel, la continuité de son existence n'est jamais interrompue. Les nations et civilisations naissent et croissent, vieillissent et déclinent, pour finalement disparaître ; mais l'être survit, témoin des innombrables changements de milieu. […] À partir du grand Tout, jaillissant comme une étincelle du feu central, il récolte des expériences dans tous les âges et sous toutes les conditions de gouvernements, civilisations et coutumes, en poursuivant sans cesse son pèlerinage vers le sanctuaire d'où il est venu. Il est tantôt le maître, tantôt l'esclave ; aujourd'hui, au sommet de la richesse et de la puissance, demain, au bas de l'échelle, plongé peut-être dans une misère abjecte, mais toujours le même être. » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 72.
L’immortalité : pourquoi et comment l’acquérir ?
« Si l’homme est immortel, cette immortalité ne peut jamais avoir eu de commencement, sinon elle devrait avoir une fin. » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 29.
« Nous disons que l'homme et l'Âme doivent conquérir leur immortalité en s'élevant vers l'unité à laquelle, s'ils réussissent à l'atteindre, ils se trouvent finalement liés et dans laquelle ils finissent, pour ainsi dire, par être absorbés. » « L'immortalité n'est rien d'autre qu'une conscience ininterrompue de soi. » « L’âme qui désire ardemment la réunion avec son esprit — réalisation qui, à elle seule, lui confère l'immortalité — doit se purifier en passant par les transmigrations cycliques qui la conduisent vers le seul pays de béatitude et de repos éternel qui soit, et qui est appelé dans le Zohar le « Palais d'Amour», dans la religion hindoue « Moksha » , chez les gnostiques, le « Plèrôme de la Lumière Éternelle » et, chez les bouddhistes, « nirvâna. » – H.P. Blavatsky, La Clef de la Théosophie, pp. 119, 124, 127
LA CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)
L’itinéraire de l’âme après la mort (cas général)
Signes avant-coureurs de la mort
La dissolution prématurée du corps astral avant la mort peut générer des états de conscience spirituels et prémonitoires : « Le processus de purification préliminaire peut être appelé « la dissolution de l’homme intérieur » […] notre ignorance commence à se dissiper […] et le “Soi-réel” peut alors transmettre sa connaissance au cerveau physique de l’homme qui pourra voir et entendre qu’elle sera l’heure précise de sa mort […] et aussi recevoir de profondes connaissances qui illumineront sa vision mentale ». – H.P. Blavatsky, article « Facts and Ideations ».
Le mourir et la première mort
Conseils donnés à l’entourage pour aider le mourant à vivre pleinement sa fin de vie – La vision panoramique au moment de la mort : Voici ce que nous lisons au sujet de l'état mental des mourants, dans une lettre très ancienne d'un Maître, écrite il y a des années à un membre de la Société Théosophique :
« Au dernier moment, la vie tout entière est reflétée dans notre mémoire : elle émerge de tous les recoins oubliés, image après image, un événement succédant à l'autre. Le cerveau mourant déloge les souvenirs avec une impulsion de la dernière énergie et la mémoire restitue fidèlement chacune des impressions qui lui avaient été confiées pendant la période d'activité du cerveau. L'impression, ou la pensée, qui fut la plus intense devient naturellement la plus vive et survit pour ainsi dire à tout le reste qui s'évanouit ensuite et disparaît, pour ne réapparaître qu'en devachan [l’état de béatitude].
« Aucun homme ne meurt fou ou inconscient — comme l'affirment certains physiologistes. Même un individu en proie à la folie, ou à une crise de delirium tremens, a son instant de parfaite lucidité au moment de la mort, bien qu'il soit incapable de le faire savoir aux assistants. Souvent, l'homme peut paraître mort. Pourtant, après la dernière pulsation, entre le dernier battement de son cœur et le moment où la dernière étincelle de chaleur animale quitte le corps, le cerveau pense et l'Ego passe en revue en quelques brèves secondes l'intégralité de sa vie.
« Aussi, parlez tout bas, vous qui vous trouvez près du lit d'un mourant, en la présence solennelle de la mort. Observez surtout le calme dès que la mort aura posé sa main moite et froide sur le corps.
« Parlez tout bas, dis-je, de peur de troubler le cours naturel des pensées qui reviennent et d'empêcher l'activité intense du Passé projetant sa réflexion sur le voile du Futur... » – H.P. Blavatsky, article « La mémoire chez les mourants » (Cahier Théosophique n°153).
Réminiscence et sursaut de conscience du mourant : Voici le cas d’une jeune fille somnambulique qui dans cet état de sommeil pouvait accomplir divers travaux domestiques variés sans qu’elle s’en souvienne à son réveil. Une nuit, échappant à la vigilance de la nurse en charge de sa surveillance constante, elle pénétra dans l’étude de son père, qui s’était absenté quelques instants, notaire réputé. Elle déroba un testament et une somme importante d’argent en actions et coupures, et les cacha à l’intérieur de deux fausses colonnes de la bibliothèque. La perte du testament et de l’argent donna lieu à un retentissant procès qui ruina presque totalement la famille et ternit entièrement sa réputation. Quelques années après elle fut atteinte de tuberculose et finit par en mourir.
« Sur son lit de mort, le voile qui avait recouvert sa mémoire physique se déchira ; sa vision divine s'éveilla ; les images de sa vie affluèrent devant son œil intérieur et elle revit, entre autres, la scène du vol en état somnambulique. Elle sortit soudainement de la léthargie dans laquelle elle s'était trouvée plongée pendant plusieurs heures, son visage montra les signes d'une émotion terrible qui l'agitait et elle s'écria : « Ah ! qu'ai-je fait ?... C'est moi qui ai pris le testament et l'argent... allez voir dans les fausses colonnes de la bibliothèque, j'ai... » Elle ne termina pas sa phrase, car l'émotion qui l'étreignait si fort la tua. On chercha à l'endroit indiqué et l'on retrouva le testament et l'argent à l'intérieur des colonnes de chêne, comme elle l'avait dit. Ce qui rend le cas encore plus étrange, c'est que ces colonnes étaient si hautes que, même en montant sur une chaise et en disposant de beaucoup de temps, et non de quelques instants, la somnambule n'aurait jamais dû pouvoir atteindre le haut des colonnes pour y laisser tomber les objets à l'intérieur. Il faut noter cependant que les extatiques et les convulsionnaires semblent posséder une facilité anormale pour grimper à des murs lisses, et même bondir jusqu'aux sommets des arbres. » – H.P. Blavatsky, article « La mémoire chez les mourants » (Cahier Théosophique n°153).
Possibilité de connaître la date et l’heure de sa mort : Le Général Yermoloff, lorsqu’il était jeune Lieutenant-Colonel, eu une expérience mystique qui lui révéla l’essentiel de ce qui allait lui arriver dans sa vie. Il écrit dans ses mémoires : « L'étranger me dit : “Prenez votre plume et écrivez.” Me sentant pris par l'influence d'un pouvoir irrésistible, j'obéis en silence. Il me dicta alors tout ce qui allait arriver dans ma vie, en concluant par la date et l'heure de ma mort. Il disparut après le dernier mot. Quelques minutes s'écoulèrent avant que je ne reprenne pleinement conscience et que je bondisse de mon siège pour me précipiter dans la pièce voisine, que l'étranger avait dû nécessairement traverser. Ouvrant la porte, je vis mon secrétaire en train d'écrire à la lumière d'une chandelle […] quand je demandai au secrétaire : “Qui était-ce, qui vient juste de venir ici ?”, il me répondit, très étonné : “Personne”. » – H.P. Blavatsky, article « Un prophète astral » (Cahier Théosophique n°139).
La phase de purification
Après la mort les principes de l’homme se séparent, le corps physique est abandonné, l’énergie vitale s’est retirée, et le corps astral avec le principe des désirs et passions (le kamarupa) et la triade supérieure (Esprit, l’Âme spirituelle et le Mental ou l’Ego) passent dans le monde astral, le kama-loka, pour se purifier du vêtement astral et des désirs inférieurs :
« Le kama-loka peut être comparé à la loge d'un acteur où il se débarrasse du costume du dernier rôle joué, avant de redevenir vraiment lui-même — l’Ego immortel, ou le Pèlerin évoluant dans sa Ronde d'Incarnations. L'Ego Éternel étant débarrassé en kama-loka de ses principes terrestres inférieurs, avec leurs passions et leurs désirs, il entre en devachan. C'est pourquoi on dit que seules les émotions, affections et aspirations purement spirituelles, et non matérielles, accompagnent l'Ego dans cet état de Béatitude. […] Le processus consistant à rejeter les quatre principes inférieurs et une partie du cinquième, est inconscient chez tous les êtres humains ordinaires. Ce n'est que dans certains cas exceptionnels, qu'il se produit un léger retour de conscience en kama-loka ; et ceci n'a lieu que chez des personnes très matérialistes et fort peu spirituelles qui, privées des conditions requises, ne peuvent entrer dans un état de Repos et de Béatitude absolus. » - H.P. Blavatsky, article « Réponses à d’anciennes questions ».
La période de béatitude et d’assimilation – Le devachan
La période de repos devachanique : « Lorsque les éléments les plus grossiers [de l'âme] ont été expulsés, se place une période de repos et de détente réparatrice relatifs, appelée devachan, au cours de laquelle l'âme se prépare à sa nouvelle apparition dans la vie matérielle. » – W.Q. Judge, Épitomé de Théosophie, p. 169.
La mort ne délivre pas de karma : « Le devachan est le pays de la récompense ; le domaine des effets spirituels. Le mot spirituel se rapporte ici à l'état désincarné, et ne doit être employé que par opposition à notre existence matérielle. […] « La mort elle-même est incapable d'en délivrer l'homme (de karma), car la mort n'est que la porte qu'il franchit pour passer à une nouvelle vie sur terre, après un peu de repos pris sur le seuil - le devachan » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 100.
Une période de repos nécessaire : Étant un état de bonheur subjectif prolongé, après la mort du corps, le devachan est sans aucun doute le Ciel des chrétiens, avec une différence cependant. C'est un Ciel rendu scientifiquement possible. Car le Ciel lui-même doit être en harmonie avec les divines lois projetées dans la Nature. Tout comme le sommeil est une relaxation des liens du corps, pendant laquelle nous faisons des rêves, de même aussi la mort est une séparation et une délivrance complètes, après quoi nous rêvons en devachan jusqu'à ce que, en nous réincarnant dans un nouveau corps sur terre, nous reprenions ce que nous appelons l'existence de veille. Même l'âme humaine se fatiguerait de cette ronde incessante de renaissances s'il n'existait pas pour elle un endroit, ou un état, prévu pour qu'elle puisse y obtenir le repos, et que ses aspirations en germe, entravées par la vie terrestre, aient la possibilité d'y atteindre leur plein développement. Aucune énergie ne peut être annihilée et, moins que toute autre, une énergie psychique ; il faut qu'elle trouve quelque part une issue. C'est en devachan qu'elle la trouve, et cette réalisation constitue le repos de l'âme. C'est là qu'elle jouit de ses désirs les plus profonds, et trouve satisfaction à ses besoins les plus élevés. Là, toute espérance s'épanouit en une floraison parfaite et glorieuse. […Il y a une grande variété d’états et conditions en devachan] adaptés aux différences énergétiques et qualitatives entre les âmes. Il y a des états […] où les désirs concrets, limités par la vie corporelle, peuvent alors se donner libre cours, tandis que certaines sphères […] permettent aux penseurs abstraits et aux philanthropes de goûter les joies de la pensée élevée. » – W.Q. Judge, Les Échos de l’Orient, p. 101-2.
Le retour à l’incarnation
« Toute la période assignée par les forces de l'âme ayant pris fin en devachan, les fils magnétiques qui rattachent l'âme à la terre commencent à affirmer leur pouvoir. Le Soi se réveille de son rêve, il est rapidement emporté vers un corps nouveau puis, juste avant la naissance, il perçoit, l'espace d'un instant, toutes les causes qui l'ont conduit en devachan et qui le ramènent à une vie nouvelle ; comprenant que tout est juste, que tout est le résultat de sa propre vie passée, il ne murmure pas, mais se charge de nouveau de sa croix : une autre âme est revenue sur terre. » – W.Q. Judge, L’Océan de Théosophie, p. 123.
La vision prospective à la naissance
« De même qu'au moment de la mort l'homme passe en revue rétrospectivement la vie qu'il a menée, de même, au moment où il renaît sur terre, l'Ego qui se réveille de l'état du devachan a une vision prospective de la vie qui l'attend et se rend compte de toutes les causes qui l'y ont conduit. Il en prend conscience et voit le futur, parce que c'est entre le devachan et la re-naissance que l'Ego regagne sa pleine conscience manasique, et redevient, pendant un court espace de temps, le dieu qu'il était avant de descendre pour la première fois dans la matière, conformément à la loi karmique, et s'incarner dans le premier homme de chair. Le « fil d'or » voit toutes ses « perles » et il n'en manque pas une. » – H.P. Blavatsky, La Clef de la Théosophie, pp. 117-8.
« Je connaissais le Midrash qui explique que l’enfant dans le ventre de sa mère a une lumière sur la tête, et peut voir ainsi du début jusqu’à la fin du monde. Il détient tout le savoir, il sait ce qui se passe, ce qui s’est passé et ce qui se passera aux limites du monde. Mais à sa naissance, un ange lui pose un doigt sur la bouche et le nouveau-né oublie tout de ce savoir absolu. Il en garde l’empreinte creusée par le doigt de l’ange au-dessus de la lèvre. » – Contes des Hébreux, Axelle Hutchings, éd. Actes Sud Junior.
ARTICLES ET DOCUMENTS
Il est proposé à la lecture (pour en savoir plus) :
- Lettre n°10 : La mort.
- Lettre n°26 : Que se passe-t-il après la mort ?
- Lettre n°32 : Quels liens entre les vivants et les morts ?
- La Clef de la Théosophie de H.P. Blavatsky : chapitres VII « Les différents états après la mort » et IX « Kama Loka et Devachan ».
- L’Océan de Théosophie de W.Q. Judge : Chapitres XII « Kama loka » et XIII « Devachan ».
- W.Q. Judge articles : « Le suicide n’est pas la mort », « Le Souvenir des expériences de l’Ego » (Cahier Théosophique n°93).
- Robert Crosbie, article : « Qu’est-ce qui survit après la mort ? » (Cahier Théosophique n°182).
- Article : « L’aventure posthume ».
- Article : « La Théosophie et le Livre des morts tibétain » (Cahier Théosophique, n°158).
- Notes complémentaires : « Enseignements théosophiques sur la mort », « La mort, Kama-loka, suicides, morts accidentelles ».
MÉDIATHÈQUE
Il est proposé :
Vidéo : « La Théosophie et le Livre des morts tibétain ».
Audio : Conférence : « La mort et l’expérience des mourants »
Audio : Conférence : « L’itinéraire de l’âme après la mort ».
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