Faire connaître les enseignements fondamentaux de la Théosophie originale tels qu'ils ont été transmis dans les écrits de H.P. Blavatsky et de W.Q. Judge.

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LETTRE N°20 - LE MOUVEMENT THÉOSOPHIQUE

LETTRE N°20 - LE MOUVEMENT THÉOSOPHIQUE

Archives Lettres 25 Avr, 2019

Novembre – Décembre 2014

La prochaine Lettre paraîtra le 1er janvier 2015. Elle aura pour thème : Le Nouvel An.

MouvementThosophique1 Vidéo d'un entretien sur le thème : « Le Mouvement Théosophique »     new youtube logo large verge medium landscape

Programme des activités

PENSÉE DU MOMENT

« Partout où la PENSÉE a lutté pour se libérer, partout où, face à la lettre morte et au dogmatisme, des idées spirituelles ont été apportées, se trouve la trace de cette grande poussée d'évolution morale qu'H.-P. Blavatsky a décrite et appelée le Mouvement Théosophique ». ̶  Extrait de l'article « Le Mouvement Théosophique moderne », p. 4. (Cahier Théosophique n°18).

CŒUR DE LA THÉOSOPHIE

Le Mouvement Théosophique  ̶  Idéal et but

Les trois buts

Ces trois buts énoncés dès la fondation de la Société Théosophique (ST) en 1875 et adoptés officiellement en 1880, étaient les suivants :

  • La formation d'un noyau de Fraternité Universelle de l'Humanité sans distinction de race, de sexe, de caste et de couleur ;
  • L'étude de religions anciennes et modernes, de philosophies et de sciences, et d'en démontrer l'importance ; et
  • L'investigation de lois inexpliquées dans la Nature et des pouvoirs psychiques latents dans l'homme.

La Fraternité Universelle

Le principe fondateur de la Théosophie est « la Fraternité essentielle de tous les hommes » ‒ (v. La Clef de la Théosophie, p. 31).
H. P. Blavatsky précise que « l'organisation [de la ST] est philanthropique et scientifique visant à la propagation de l'idée de fraternité en pratique et non en théorie ». Les membres pouvaient être chrétiens ou musulmans, juifs ou parsis, bouddhistes ou brahmanes, spirites ou matérialistes — peu importe. « Chaque membre doit être soit un philanthrope, soit un érudit, un spécialiste en littérature aryenne et autres littératures anciennes, soit encore un chercheur dans le domaine des phénomènes psychiques. En résumé, il doit contribuer, s'il le peut, à réaliser au moins l'un des buts du programme. » ‒ (La Clef de la Théosophie, p. 32).
« Le jour où la Théosophie aura accompli sa mission la plus sainte et la plus importante, celle d'arriver à unir solidement par un lien d'amour fraternel un groupe d'hommes de toutes les nationalités, déterminés à se consacrer à un travail purement altruiste, et non pas à une œuvre aux motifs égoïstes, alors seulement la Théosophie s'élèvera au-dessus de tout autre groupe de prétendue Fraternité humaine.» ‒ (Cinq Messages, pp. 15/6).
« L'unité et la causalité universelles, la solidarité humaine, la loi de karma, la ré-incarnation. Ce sont là les quatre anneaux de la chaîne d'or qui devrait unir l'humanité en une seule famille, en une seule Fraternité universelle. » L'étude et la pratique de ces principes devraient amener une amélioration en profondeur de chaque être et de la société dans son ensemble. ‒ (La Clef de la Théosophie, p. 247).

Quel est l'impact visé par cet enseignement ?

Parmi les objectifs visés par la Théosophie (ou Sagesse Divine), « les plus importants sont ceux qui peuvent conduire au soulagement de la souffrance humaine, sous quelque forme que ce soit, aussi bien morale que physique. Et nous croyons que la souffrance morale est de loin plus importante que la souffrance physique. La Théosophie a pour tâche d'inculquer l'éthique ; elle doit purifier l'âme, si elle veut soulager le corps dont tous les maux, sauf dans les cas d'accidents, sont héréditaires. » ‒ (La Clef de la Théosophie, p. 37).
A la fin du 19ème siècle, une nouvelle impulsion a été donnée à ce Mouvement ; « quoique les idées théosophiques aient pénétré toutes les formes ou tout développement que la spiritualité naissante ait pu prendre, la Théosophie pure et simple devra encore livrer un sérieux combat avant d'être reconnue »... Par exemple, concernant les pouvoirs latents dans l'homme et la nature, depuis toujours, les personnes faibles ont exigé des « signes et des merveilles et, quand ceux-ci ne leur ont pas été accordés, ils ont refusé de croire ». Elles ne comprendront jamais « la Théosophie pure et simple. Il y a cependant des individus qui réalisent intuitivement ... l'importance ... d'admettre la pure Théosophie — la philosophie de l'explication rationnelle des choses, et non les doctrines — étant donné qu'elle seule peut fournir le flambeau nécessaire pour guider l'humanité sur son vrai sentier ». « L'essence de la Théosophie consiste dans l'harmonisation parfaite du divin et de l'humain dans l'homme, dans l'adaptation de ses qualités et de ses aspirations divines et dans leur triomphe sur ses passions animales ou terrestres. La bonté, l'absence de tout mauvais sentiment et de tout égoïsme, la charité, la bonne volonté envers tous les êtres, et la justice parfaite envers les autres comme envers soi-même, sont ses caractéristiques capitales ».
C'est pourquoi il est dit que « lorsque la nature réelle de la Théosophie sera comprise le préjugé ... disparaîtra ». ‒ (Cinq Messages, pp. 15, 18, 19).
« Les théosophes sont, par nécessité, amis de tous les mouvements du monde, tant intellectuels que simplement pratiques, qui visent à l'amélioration des conditions de l'humanité. » Ils sont « amis de tous ceux qui par exemple luttent contre l'ivrognerie, la cruauté envers les animaux, l'injustice envers les femmes et la corruption dans la société ou le gouvernement, sans néanmoins se mêler de politique. » Ils soutiennent ceux qui exercent « la charité pratique, qui cherchent à alléger un peu le gigantesque fardeau de misère qui écrase les pauvres. » [...] « La fonction des théosophes est d'ouvrir le cœur et l'entendement des hommes à la charité, à la justice et à la générosité, attributs qui appartiennent spécifiquement au règne humain et sont naturels à l'homme quand il a développé les qualités d'un être humain car la Théosophie apprend à l'homme animal à devenir un homme humain ; quand les êtres auront appris à penser et à sentir comme les véritables êtres humains devraient sentir et penser, ils agiront alors avec humanité et tous accompliront spontanément des œuvres de charité, de justice et de générosité. » ‒ (Cinq Messages, pp. 19/21).

Etude et promulgation

Comment les individus peuvent ils aider dans le travail ?
« D'abord, en étudiant et en comprenant bien les doctrines théosophiques, afin de pouvoir les enseigner aux autres, particulièrement aux jeunes ; [...] en corrigeant les idées fausses en ce qui la concerne et en suscitant de l'intérêt pour ce sujet ; en aidant à répandre la littérature ; [...] en défendant la ST par tous les moyens légitimes [...] contre les calomnies injustes répandues contre elle. Enfin et le plus important, par l'exemple de leur propre vie. »
La philosophie de la Théosophie apporte à l'homme, le Penseur, la nourriture spirituelle : « un bon livre, qui incite à penser, qui fortifie et clarifie le mental et lui permet de bien saisir des vérités dont il n'avait auparavant qu'une vague perception, sans pouvoir les formuler, ne peut manquer de rendre un service véritable et fécond ». C'est en cela que résident l'efficacité et la valeur de l'étude individuelle et collective d'une spiritualité. La mise en pratique découlera naturellement dans la vie quotidienne. ‒ (La Clef de la Théosophie, p. 262).

La Loge Unie des Théosophes

C'est pourquoi depuis 1909, la Loge Unie des Théosophes se consacre essentiellement à l'étude et la propagation de l'enseignement de la Théosophie dans les ouvrages de H.P. Blavatsky et son collaborateur William Q. Judge.
La Loge Unie des Théosophes réunit des individus autour de ce projet spirituel, sans statuts ni chefs. Il s'agit de principes et d'idées déclinés dans une « Déclaration ».
La véritable unité et la présence, le véritable caractère international, ne consistent pas à avoir une organisation unique. Ils résident dans la similarité de but, d'aspiration, d'intention, d'enseignement, d'éthique.
Le but est unique : former un noyau de Fraternité Universelle quelques soient les obstacles qui en réalité sont secondaires par rapport au but fixé.
L'intention est unique : étudier, appliquer et propager l'enseignement des Instructeurs selon les lignes qu'ils ont laissées clairement.

CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)

Le Mouvement Théosophique  ̶  Passé, présent et futur

L'origine du Mouvement

« La RELIGION-SAGESSE a toujours été une et, comme elle est le dernier mot de toute connaissance humaine possible, elle a été soigneusement préservée. Elle existait depuis de longs âges avant les théosophes alexandrins, elle s'est perpétuée jusqu'à nos jours et elle survivra à toute autre religion et philosophie. » − La Clef de la Théosophie, p. 21.
« La Théosophie [...] a existé éternellement à travers les cycles sans fin du passé, elle existera à jamais à travers l'infinité des temps de l'avenir, car la Théosophie est synonyme de VÉRITÉ ÉTERNELLE. » − La Clef de la Théosophie, p. 317.
L'histoire du Mouvement Théosophique a traversé les siècles, son début se perd dans la nuit qui précède la mémoire de l'homme. Ces représentants, instructeurs et porte-paroles ont tous indiqué la même chose – que son origine est l'impulsion évolutive de la grande Nature ; son but est l'élévation et l'émancipation des jougs de la souffrance et de l'ignorance, de tout ce qui vit sur terre. Il enseigne l'immortalité de l'âme – de l'Ego spirituel durable – cet éternel pèlerin qui voyage de vie en vie, passant de civilisation en civilisation, parfois gagnant, parfois échouant, mais avançant toujours sur la voie du destin qu'il se fabrique. [...]
Le véritable Mouvement Théosophique n'est pas une question « d'organisations ». Alors qu'il peut opérer à travers des organisations, comme les âmes utilisent des corps, la vie d'une organisation ne définit et ne limite d'aucune façon la vie du Mouvement Théosophique. H.P. Blavatsky ne se souciait que peu ou pas pour les formes institutionnelles. [...] (Extraits de The Theosophical Movement, Ed. Cunningham Press, USA).

Une impulsion renouvelée dans le dernier quart de chaque siècle

A la fin de La Clef de la Théosophie, H. B. Blavatsky précise que « pendant le dernier quart de chaque siècle, ces « Maîtres », [...] font une tentative en vue de favoriser, d'une façon nette et marquante, le progrès spirituel de l'humanité ». Ainsi vers la fin de chaque siècle, on trouve invariablement un « déversement d'énergies ou un bouleversement dans le sens d'une montée dans le domaine de la spiritualité. [...] » ‒ (La Clef de la Théosophie, p. 319).
« Depuis quelques siècles, et d'une façon cyclique, un Mouvement spirituel est déclenché dans le monde par les Mahatmas, débutant vingt-cinq ans avant la fin de chaque siècle et se terminant avec lui. Au bout de ces vingt-cinq ans, les Maîtres n'envoient plus avec autant de puissance et d'intensité, la force qu'ils ont transmise pendant ce quart de siècle, mais cela ne veut pas dire qu'ils se désintéressent du monde. Ils laissent germer les idées dans le mental des hommes, mais ils n'enlèvent jamais à ceux qui la méritent, l'aide qui est due et donnée à tous. » − Extrait de l'article « Les Maîtres de Sagesse » (Cahier Théosophique N°3).

L'année 1875 marque le début de la conjonction de plusieurs cycles

« II y a plusieurs cycles remarquables qui arrivent à leur terme à la fin de ce siècle. Tout d'abord, les 5.000 [premières] années du cycle du kali yuga, puis le cycle messianique des Juifs samaritains (ainsi que kabbalistes) qui se rapporte à l'homme lié aux Poissons ([en grec] Ichthys ou [en hébreu] Dag, l'« Homme-poisson »). C'est un cycle, de caractère historique, et d'une durée limitée, mais d'une nature très occulte, qui s'étend sur environ 2155 ans, dont la signification n'apparaît vraiment que si on le compte en mois lunaires. Une fin de ce cycle se produisit en 2410, puis en 255 av. J.-C. c'est-à-dire lorsque le point équinoxial entra dans le signe du Bélier et ensuite dans celui des Poissons. Dans quelques années, quand il passera dans le signe du Verseau, les psychologues auront devant eux un surcroît de travail, et les caractéristiques psychiques de l'humanité entreront dans une phase de grand changement. » ‒ (Extrait de l'article de H.P. Blavatsky « Le caractère ésotérique des Évangiles » (Cahier Théosophique n°162).
« Le fait de l'intersection des 3 cycles signalant un événement extraordinaire dans la venue d'un certain personnage est au cœur d'une compréhension de toute la philosophie. Si nous ne saisissons pas que l'origine de cette philosophie est une vraie connaissance, et si nous ne réalisons pas que l'Être qui nous la présenta la connaissait, et qu'il répandit tout ce qui pouvait être donné à son époque, nous n'avons pas compris le premier indice. Avec cet indice, nous pouvons recevoir de plus en plus de lumière dans toutes les directions ; nous pouvons voir ce que ces choses signifient, car cette idée tend réellement à ouvrir ce que vous pouvez appeler l'œil spirituel. »  ̶  (Ouvrage de R. Crosbie, Réponses aux questions sur l'Océan de Théosophie, Ch. XIV, Q. 35).

L'apport de cette impulsion spirituelle pour l'Orient et l'Occident

Les efforts de la Société Théosophique en Inde « ont infusé une vitalité nouvelle et vigoureuse dans la philosophie hindoue, ravivé la religion de ce pays, regagné l'adhésion de la classe instruite aux croyances ancestrales, créé un enthousiasme pour la littérature sanskrite qui se manifeste de façon diverses : republication de documents anciens comme encyclopédies, textes religieux et commentaires, fondation de nombreuses écoles de sanskrit, reconnaissance et soutien du sanskrit par des Princes locaux, etc. En outre, par les moyens mis en œuvre et les foyers actifs établis dans ce domaine littéraire, la Société a répandu dans le monde entier une connaissance de la philosophie aryenne et un intérêt pour elle. »
« Les répercussions de ce travail se manifestent dans la demande populaire de littérature théosophique et l'intérêt pour les romans et récits de revues illustrant des idées de l'Orient. Un autre effet important est la modification, sous l'influence de la philosophie orientale, des conceptions des spirites, nettement amorcée en ce qui concerne l'origine d'un aspect de l'intelligence qu'on trouve à l'œuvre derrière les phénomènes médiumniques ».
Le Mouvement Théosophique a « aidé l'Occident à envisager un idéal plus digne de potentialités de l'homme que celui qu'il possédait auparavant. L'étude de la psychologie orientale a donné à cet Occident la clef de certains mystères jusque là déconcertants, comme, par exemple, dans le domaine du mesmérisme ou de l'hypnotisme, et dans celui des soi-disant rapports posthumes entre l'entité humaine désincarnée et les vivants. Elle a également fourni une théorie expliquant la nature et les relations propres de la Force et de la Matière, susceptible d'être vérifiée pratiquement par quiconque peut être à même d'apprendre et de suivre les méthodes expérimentales des Écoles orientales de science occulte. [...] Cette science, avec la philosophie qui la complète, fait la lumière sur certains des problèmes les plus profonds concernant l'homme et la nature, en permettant de combler ce qui, en science, constitue le fameux « gouffre infranchissable *», en rendant possible, en philosophie, de formuler une théorie conséquente de l'origine et de la destinée des corps célestes, avec tout ce qu'ils produisent de règnes et de plans divers. [...] La philosophie de l'Advaita entre en scène avec sa théorie très élaborée de l'évolution de la matière différenciée (Prakriti) à partir de l'indifférenciée (Mulaprakriti) ― la « racine sans racine ». ». ‒ (Extrait de l'article de H.P. Blavatsky « Nos trois buts » (Cahier Théosophique n°172).
* [L'expression « impassable chasm » est du savant John Tyndall. Mme Blavatsky l'a utilisée comme titre du 12e chapitre (1er volume) de son œuvre Isis Unveiled ( = Isis dévoilée). Ce « gouffre infranchissable » renvoie au mystère des rapports inexplicables, pour la science, entre matière et conscience.]

Une réponse au mental en évolution

La Théosophie fournit les bases d'une psychologie transpersonnelle, permettant d'expliquer notamment :

  • Les pouvoirs latents dans l'homme. Elle fait une distinction entre les pouvoirs spirituels et psychique et met en garde sur le développement prématuré des pouvoirs psychiques. La purification et l'éveil spirituels devant être le but recherché.
  • Le pourquoi et le comment des phénomènes spirites, et psychiques en général, en les distinguant des authentiques expériences spirituelles.
  • Le scénario réel du mourir, avec des précisions qui éclairent les récits modernes des rescapés de la mort,
  • L'expérience posthume de la conscience, en donnant un sens nouveau à la mort, dans la perspective logique de la réincarnation.
  • Elle prouve à l'homme qu'il n'y a pas de miracles, qu'il n'y en a jamais eu et qu'il n'y en aura jamais, car rien de surnaturel ne peut se produire dans notre univers étant donné que, sur terre du moins, le seul dieu qui existe est l'homme lui-même.

Le Mouvement Théosophique et le futur

L'avenir « dépendra presque entièrement du degré de désintéressement, de sincérité, de dévouement et finalement — ce qui n'est pas le moins important — de la mesure de connaissance et de sagesse » que possèderont les individus qui continueront le travail d'étude et de propagation de la philosophie de la Théosophie.
Elle « pénétrera peu à peu, comme un levain, la grande masse des gens réfléchis et intelligents, de ses idées nobles et généreuses de Religion, de Devoir et de Philanthropie. Elle brisera lentement, mais sûrement, les entraves de fer des crédos et des dogmes, des préjugés de caste et de classe ; elle détruira les antipathies nationales et raciales, ainsi que les barrières qu'elles ont érigées, et ouvrira ainsi la voie à la réalisation pratique de la Fraternité entre tous les hommes ».
« Le développement mental et psychique de l'homme suivra harmonieusement le cours de son amélioration morale, tandis que les circonstances matérielles où il vivra refléteront la paix et la bienveillance fraternelle qui domineront sa pensée, au lieu de la discorde et des conflits ». ‒ (La Clef de la Théosophie, pp. 317/9).

DOSSIERS ET ARTICLES

Il est proposé comme lectures complémentaires:

MÉDIATHÈQUE

MouvementThosophique1 Vidéo d'un entretien sur le thème : « Le Mouvement Théosophique » 

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