Janvier – Février 2015
La prochaine Lettre paraîtra le 1er mars 2015. Elle aura pour thème : William Q. Judge, disciple et instructeur.
Vidéo d'une conférence : « Les cycles cosmiques et l'évolution de l'homme »
Audio d'une conférence : « Le pouvoir des vœux »
Programme des activités
PENSÉE DU MOMENT
« Que la nouvelle Année vous apporte bonheur et prospérité ! » ‒ H.B. Blavatsky.
« Une force mystique est entrain de s'élever en cette fin de [XIXème] siècle. » ‒ H.P. Blavatsky, « Le Cycle Nouveau ».
« Nous croyons implicitement qu'en ce tournant du cycle, l'autorité finale est l'homme lui-même. [...] La grande horloge de l'Univers indique une autre heure, et maintenant l'Homme doit saisir la clef dans ses mains et par lui-même ‒ de tout son être ‒ ouvrir la grande porte. Jusqu'à présent il dépendait de nobles âmes dont les mains ont retenu un désastre imminent. Entrons ensemble dans la nouvelle année, sans crainte, confiants quant à la force de l'Union de Fraternité. Comment pourrions-nous craindre la mort, la vie, une horreur ou une malédiction quelconque, où et quand que ce soit, lorsque nous savons bien que la mort elle-même fait partie du rêve que nous tissons devant nos yeux » ‒ W.Q. Judge « Un année sur le Sentier ».
CŒUR DE LA THÉOSOPHIE
Le nouvel an – Une période propice aux vœux
Une période propice aux vœux
« HEUREUSE ANNÉE A TOUS ! [...] chaque homme et femme est doué, plus ou moins, d'une potentialité magnétique qui, si elle est aidée par une volonté sincère, particulièrement intense et indomptable – est le plus effectif des leviers magiques placé entre les mains humaines par la Nature – pour le meilleur et le pire. » (1).
Cette période est d'autant plus propice aux vœux que la vitalité de la Nature dans son ensemble est plus vigoureuse. Plus les motifs sont élevés, plus les pensées sont altruistes et pures, et sont accompagnées d'une volonté soutenue, plus les individus sèmeront avec succès des graines bénéfiques.
« Que personne n'imagine qu'attacher de l'importance à la naissance de l'année, soit une simple fantaisie. La terre passe dans une période particulière et l'homme avec elle ; et de même qu'un jour peut être coloré de même l'année peut l'être. La vie astrale de la terre est jeune et forte entre Noël et Pâques. Ceux qui forment leurs vœux durant cette période bénéficieront d'une force accrue pour les satisfaire de manière conséquente. » (2).
L'altruisme ne connaît ni préférence ni limite. C'est pourquoi tout individu sincère est invité à utiliser cette volonté « en envoyant un souhait sincère ainsi qu'un vœu de bonne chance pour le Nouvel An à chaque créature vivante sous le soleil, y compris les ennemis et calomniateurs ». (3) ‒ Notes (1) à (3) : Extraits traduits de l'article d' H.P. Blavatsky « 1890! On The New Year's Morrow ».
Karma et le pouvoir du vœu
Le pouvoir d'un tel vœu dépend de l'intensité de la pensée. Selon un aphorisme (« Les aphorismes sur karma », n°19) : « Au cours d'une vie, l'instrument [le corps] peut subir certaines modifications qui l'adaptent à d'une nouvelle catégorie de karma ; ceci peut se produire de deux façons : a) par l'intensité de la pensée et le pouvoir d'un vœu ; b) par les changements naturels survenant après l'épuisement complet des causes anciennes ».
Tenir les bonnes résolutions dans la durée
« Chacun, certainement, a pris de bonnes résolutions pour le Nouvel An et, tout aussi certainement, n'a pas réussi à s'y tenir. Il y a forcément une raison à cet échec, tout comme au fait qu'à une certaine période de l'année, nous nous sentons enclins à prendre des résolutions. Ces raisons sont enfouies dans le tréfonds de notre être. À notre insu, probablement nous avons une perception naturelle de la loi occulte quand nous tenons compte de ce moment de l'année. Les anciens célébraient et comprenaient ce qu'ils appelaient « la naissance du Soleil », ou le retour du Soleil à son cours septentrional, qui débute le 21 décembre. Ils savaient que toutes les forces occultes de la Nature reprennent une tendance ascendante et croissante lorsque revient le Soleil. » ‒ Robert Crosbie « Les résolutions du nouvel An ».
L'importance des cycles
W. Q. Judge présente cette idée très répandue dans les traditions anciennes, comme pénétrant tous les règnes et contenant une dynamique de progrès. Voila ce qu'il indique à propos des cycles et le retour des impressions.
« Qu'est-ce qu'un cycle ? C'est un cercle, un anneau ; cependant, à proprement parler, ce n'est pas un anneau semblable à une alliance qui tourne sur elle-même ; mais un cycle ressemble plutôt à un pas de vis qui prend la forme d'une spirale et qui, après avoir commencé par le bas, tourne sur lui-même et monte. [...] Cette loi cyclique prévaut dans chaque règne de la nature, dans le règne animal, dans le monde minéral, dans le monde des humains, dans l'histoire, dans le ciel, sur la terre ; nous disons que non seulement les cycles appartiennent à la terre et à ses habitants, qu'ils sont en rapport et règnent sur eux et en eux, mais qu'ils prévalent aussi dans ce que les Hindous appellent les trois royaumes de l'univers, les trois mondes : celui qui est en dessous de nous, nous-mêmes et celui qui est au-dessus de nous. [...] Il y a un retour périodique, ou retour d'un cycle, une fois de plus, retour d'un cycle de quelque chose, d'un endroit quelconque. C'est pourquoi on l'appelle cycle, attendu qu'apparemment il revient sur lui-même ; mais dans la doctrine théosophique et dans les anciennes doctrines, il y a toujours une élévation dans le sens de la perfection ou du progrès ». ‒ Article de W.Q. Judge, « Impressions cycliques, leur retour et notre évolution » (Cahier Théosophique N°89).
« Les cycles spirituels, psychiques et moraux sont ceux qui affectent plus spécialement l'homme. [...] Nous nous trouvons actuellement dans un cycle de transition au cours duquel, comme son nom l'indique, tout dans la philosophie, la religion et la société subit des transformations. Dans une telle période, tous les détails sur les nombres et les règles concernant les cycles ne sont pas révélés à une génération qui place l'argent au-dessus de la pensée et se moque de toute conception spirituelle concernant l'homme et la nature. » – Extraits de l'Océan de Théosophie, chapitre XIV.
« Les Egyptiens ont enseigné qu'il y avait un grand cycle sidéral. [...] Il s'agit du cycle de 25.000 ans, du grand cycle déterminé par la course du soleil à travers les signes du Zodiaque pendant cet intervalle de temps. [...] Comme les aiguilles de l'horloge marquent l'heure, de jour en jour et d'année en année, le soleil parcourt les signes du Zodiaque ; mais en même temps il régresse lentement. En traversant cette période, il revient de nouveau au même point, prend du retard ou rétrograde. C'est ce qu'on appelle la précession des équinoxes ». ‒ Article de W.Q. Judge, « Impressions cycliques, leur retour et notre évolution » (Cahier Théosophique N°89).
Karma, la loi de Causalité éthique est intrinsèquement liée aux cycles et H.P. Blavatsky souligne la perspective spirituelle qu'elle donne à l'évolution de l'humanité. « L'humanité est l'enfant de la Destinée cyclique, et pas une de ses unités ne peut échapper à sa mission inconsciente, ni s'abstraire de son travail en coopération avec la nature. Ainsi l'humanité, de race en race, accomplit son pèlerinage cyclique prévu. [...] Tel est le cours de la Nature guidé par le mouvement de la LOI KARMIQUE : la Nature toujours présente et en éternel devenir. Car, selon les mots d'un Sage, connu seulement de quelques Occultistes : - « LE PRÉSENT EST L'ENFANT DU PASSÉ ; LE FUTUR, EST ENGENDRÉ DU PRÉSENT ». » ‒ The Secret Doctrine [La Doctrine Secrète] (Vol. II, p. 446, éd. Theosophy Company, USA).
Le nouvel an est ainsi l'occasion de se rappeler les nombreuses analogies qui apportent un sens profond et qui inspirent. « Les semaines de 7 jours, formant les mois lunaires et les mois solaires, affectent la personnalité. Comme les flux et les reflux de l'océan terrestre sont influencés par les mouvements de la lune, notre « corps lunaire » [La forme astrale produite par le principe des passions et désirs] est influencé par le cycle lunaire. Il y a aussi les années solaires et lunaires, avec leurs saisons. Ce cycle annuel peut être considéré comme correspondant à une incarnation de l'Ego individuel, chaque nouvelle naissance étant analogue à une nouvelle année. Enfin, le cycle sidéral correspond, par analogie, au cycle entier d'évolution de la monade humaine (Jivâtma). Ces cycles physiques sont la réflexion de cycles psychologiques. » ‒ Extrait de l'article « La loi des cycles » (Cahier Théosophique n°10).
Le Soleil, le mystère des nombres et l'année solaire
« Tous les systèmes mystiques religieux sont basés sur les chiffres. Avec Pythagore, la Monade ou l'unité, émane la duade, et forme ainsi la trinité, et avec le quaternaire [...] compose le nombre sept. Le caractère sacré des nombres commence avec le grand Premier – le UN, et se termine seulement avec le néant ou le zéro ‒ symbole du cercle infini et sans limite qui représente l'univers. Tous les chiffres intermédiaires, quelle que soit leur combinaison, ou quelle soit la manière dont ils sont multipliés, représentent, des idées philosophiques (de l'esquisse imprécise à l'axiome scientifique clairement établi) relatives à un fait moral ou physique dans la nature. Ils donnent une clef pour comprendre de manière générale la pensée des anciens sur la cosmogonie, y compris l'homme et les autres êtres, et l'évolution de la race humaine, spirituellement et physiquement. Le nombre sept est le plus sacré de tous. » ‒ Traduction d'Isis Unveiled [Isis Dévoilée], II, p. 407.
Ainsi le nouvel an est lié au retour du Soleil dans l'hémisphère nord à partir du 25 décembre, le jour de la naissance du Soleil (voir plus ci-dessous). Le Soleil reprend alors son cours septentrional. « Adonis, Bacchus, Osiris, Apollon, etc., étaient tous nés le 25 décembre, qui suit le solstice d'hiver, [...] et, à partir de ce moment, la Lumière dissipe progressivement les ténèbres et le pouvoir du Soleil commence à croître. » ‒ Extraits de l'article d'H.P. Blavatsky, « Christmas Then and Christmas Now ».
Le nombre de jour de l'année solaire
« Les trois chiffres 3, 6, 5, ou le nombre de jours de l'année solaire, doivent être lus avec la Clef de Pythagore pour trouver en eux un sens hautement philosophique et moral. Un exemple suffira, qui peut se lire :
Simplement parce que 3 est équivalent au grec gamma, la lettre qui est le symbole de gaïa (la Terre) ; alors que le chiffre 6 est le symbole du principe animateur et informant, et le 5 est la quintessence universelle qui s'étend dans toutes les directions et forme toute la matière. (Manuscript de St. Germain) ». – Traduction de The Secret Doctrine, II, pp. 529-30.
Lecture complémentaire : « Les Vœux et la culture du Juste Motif (Le pouvoir du vœu ; Le principe balance – le désir ; Le Renoncement ; La purification du désir ; La volonté et le désir ; Rendre le monde meilleur ; Espérance et confiance) ».
CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)
Le nouvel an – Symboles de Janus et du Capricorne
De nombreux exemples dans l'antiquité
H.P. Blavatsky rappelle que les Romains « célébraient le jour de Janus le 1er janvier et deux jours après, le 3 janvier et rendaient pareil honneur à Isis, patronne de la bonne ville de Lutetia Parisiorum ».
« Le 1er janvier étant le 8ème jour après Noël, est, tant dans les histoires profane qu'ecclésiastiques, l'anniversaire de la circoncision de Christ, comme six jours après dans l'Epiphanie. » Aussi elle précise que « bien avant l'arrivée des trois Mages zoroastriens, la circoncision du Christ, ou sa naissance, le 1er janvier était le premier jour de l'année civile des romains », et cette date « était célébrée il y a 2000 ans comme elle l'est maintenant ». ‒ H.P. Blavatsky, extrait traduit de l'article « 1890! On The New Year's Morrow ».
« Avec les juifs et les cabalistes chrétiens, le nombre de leur déité – le Dieu d'Abraham et de Jacob – est 10, le nombre de la perfection, l'UN dans l'espace, ou le Soleil, astronomiquement, et les dix séphirotes, cabalistiquement. Mais les Dieux sont nombreux, et chaque décembre, selon les japonais, est le mois de l'arrivée, ou la descente des Dieux ; ainsi il doit y avoir un nombre considérable de dieux veillant au-dessus des mortels dans l'espace astral. Avant Clovis, le 3 janvier, était un jour consacré à Isis – la déesse-patronne de Paris qui a maintenant été remplacée par Sainte Geneviève – était aussi le jour particulier où les déités de l'Olympe rendaient visite à leurs adorateurs. Le troisième jour de chaque mois été consacré à Pallas Athénée, la déesse de la Sagesse ; et le 4 janvier est le jour de Mercure (Hermes, Boudha), qui est crédité d'ajouter de l'esprit dans la tête de ceux qui sont respectueux de lui. Décembre et janvier sont les deux mois les plus en rapport avec les dieux et les nombres. [...] Nous sommes dans le solstice d'hivers, la période pendant laquelle le Soleil est entré dans le signe du Capricorne et depuis le 21 décembre il cesse sa course dans l'hémisphère sud, et comme le cancer ou un crabe, il commence à rétrograder. C'est à ce moment particulier qu'il naissait, chaque année, et le 25 décembre était le jour de la naissance du Soleil pour ceux qui habitaient l'hémisphère nord. C'est aussi le 25 décembre, que le Christ, le jour de naissance du « Sauveur du Monde » des chrétiens, qu'étaient nés, des âges avant lui, le perse Mithra, l'égyptien Osiris, le grec Bacchus, le phénicien Adonis, le phrygien Attis. Et alors qu'à Memphis on montrait au peuple le dieu du Jour, sorti de son berceau, les romains célébraient le 25 décembre dans leur calendrier comme le jour natalis solis invinci (la naissance du soleil invincible). » ‒ Traduction d'un extrait de l'article d'H.P. Blavatsky "The Year is Dead. Long Live the Year".
Janus, le dieu du Temps
« Janvier – Januarius [= le mois de janvier] était dédié à Janus le Dieu du Temps, le cycle qui se renouvelle sans cesse, le Dieu à double-face – avait une face tournée vers l'Est et l'autre vers l'Ouest ; le passé et le futur ! Allons-nous nous le rendre propice et le prier ? Pourquoi pas ? Sa statue avait à ses pieds 12 autels, symbolisant les douze signes du Zodiaque, les douze dieux, les douze mois de l'année solaire et – les douze Apôtres du Christ solaire. Dominus [= Maître, Seigneur] était le titre donné au Soleil par les anciens ; d'où dies domini, dies solis, les « jours du Soleil ». [...] La statue de Janus-Janvier portait gravée sur sa main droite le chiffre 300, et sur sa gauche, 65, le nombre de jours de l'année Solaire; dans une main il tenait un spectre, et dans l'autre les clefs, d'où son nom de gardien ou 'janitor' [cerbère] le gardien des clefs des Cieux, qui ouvraient les portes de la nouvelle année. »
« Ne serions-nous pas en droit de voir en lui le prototype de Pierre, le pêcheur et son navire céleste, le portier du Paradis, dont il était seul à détenir les clefs ? Janus présidait aux quatre saisons. Pierre préside les quatre Evangélistes. Dans l'occultisme le pouvoir et la signification des nombres et des numérotations résidait dans leur application et permutations correctes. Si nous devons nous rendre favorable tout chiffre mystérieux, nous devons assurément nous adresser à Janus-Pierre, dans sa relation au UN – le soleil » ‒ Traduction d'un extrait de l'article d'H.P. Blavatsky "The Year is Dead. Long Live the Year".
Lecture complémentaire : « Janus - Le dieu à double face (Janus et le caractère ésotérique des Evangiles ; Le mystère du Jardin d'Eden) »
Capricorne, le mystérieux Makara des hindous
Le 4 janvier, le vrai nouvel an
« C'est le 4 janvier que devraient choisir les Théosophes – les Esotéristes particulièrement – pour leur nouvel an. Janvier est sous le signe du Capricorne, le mystérieux Makara des mystiques hindous – les « Kumaras », qui est-il dit, se sont incarnés dans l'humanité sous le 10ème signe du Zodiaque. Pendant des âges le 4 janvier était consacré à Mercure-Bouddha (*), ou Toth-Hermès. Ainsi tout se combine pour en faire une fête célébrée pour ceux qui étudient la Sagesse ancienne. Qu'il soit appelé par son nom sanscrit Budh ou Bouddhi, ou Mercure, véritablement le fils de Coelus et Hecate, ou de magie divine (blanche) et diabolique (noire) selon les hellènes, ou encore Hermes et Toth, son nom gréco-égyptien, ce jour semble beaucoup plus approprié que le 1er janvier, le jour de Janus, le dieu aux deux visages "serviteurs du temps" ».
(*) Le 4 janvier était consacré à Mercure, dont les grecs firent Hermès, et les catholiques romains ont inclus saint Hermès dans leur calendrier. De la même façon le neuvième jour de ce mois a toujours été célébré par les païens comme le jour du « soleil conquérant » et les catholiques romains ont changé ce nom un nom propre, faisant de lui saint Nicanor (du grec nikao, conquérir), qu'ils honorent le 10 janvier ». ‒ H.B. Blavatsky, extrait de l'article "1890! On the New Year Morrow".
Autres symboles associés
« Le 10ème signe du Zodiaque (Makara en Sanskrit), pris, dans son sens caché, est la plus importante des constellations du mystérieux Zodiaque. Il est pleinement décrit dans la Doctrine Secrète, et par conséquent ne nécessite que peu d'autres commentaires. Même, dans les descriptions exotériques, peu importait si le Capricorne était en rapport quelconque avec la nourrice Amalthée qui nourrit Jupiter de son lait, ou avec le dieu Pan qui se changea en chèvre et laissa son empreinte sur les registres sidéraux. Chaque fable a sa signification. Tout dans la Nature est intimement corrélé avec l'ensemble, et l'étudiant des trésors anciens ne sera pas trop surpris si on lui dit que les sept enjambées faites en direction de chacun des quatre points cardinaux du compas, soit – 28 pas – par le Bouddha, quand il était enfant nouveau-né, sont étroitement liés aux 28 étoiles de la constellation du Capricorne. » ‒ Glossaire Théosophique, « Capricorne ».
Lecture complémentaire : « L'interaction entre l'humanité et les hiérarchies divines ».
Le symbolisme des nombres
« Que personne ne néglige l'importance et le pouvoir des nombres – pris comme symboles. Tout dans l'univers est façonné selon des proportions et des combinaisons éternelles de nombres. « Dieu géométrise », et les nombres et numérotations sont la base fondamentale de tous les systèmes mystiques, philosophiques et religieux. Les fêtes annuelles et leurs dates étaient toutes fixées d'après le Soleil – le « père de tous les calendriers et du Zodiaque, ou du dieu-Soleil et des douze grands dieux, bien que mineurs ; et elles devinrent sacrées ultérieurement dans le cycle national et tribal des religions. » ‒ Traduction d'un extrait de l'article d'H.P. Blavatsky "The Year is Dead. Long Live the Year".
Lecture complémentaire : « Citations en rapport avec le mystère de l'année solaire. »
DOSSIERS ET ARTICLES
Il est proposé les lectures complémentaires suivantes :
• Article "1888" de H.P. Blavatsky.
• Article "1890! On the New Year's Morrow." de H.P. Blavatsky. [en anglais]
• Article "The Year is Dead. Long Life the Year" de H.P. Blavatsky. [en anglais]
Pour trouver la définition des mots sanscrits vous pouvez consulter le glossaire du site.
MÉDIATHÈQUE
Audio d'une conférence : « Le pouvoir des vœux »
Vidéo d'une conférence : « Les cycles cosmiques et l'évolution de l'homme »