LETTRE N°56 – LES VÉRITÉS ÉTERNELLES
Novembre – Décembre 2020
La prochaine Lettre paraîtra début janvier 2021. Elle aura pour thème : La méditation.
Vidéo : « La voie de la Compassion vécue par les Gages »
Audio : « Le langage universel des symboles et des mythes »
Audio : « Vérités relatives et vérité absolue. »
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PENSÉE DU MOMENT
Axiomes de Vérités Éternelles de la Doctrine Secrète :
« Il n’y a pas de religion (ou de loi) au-dessus de la Vérité » - axiome des Maharajah de Bénarès.
« Nature a horreur du vide », selon les Péripatéticiens et les anciens, en général.
« Axiome kabbalistique formule : « Le Souffle devient une pierre ; la pierre, une plante ; la plante, un animal ; l’animal, un homme ; l’homme, un esprit, et l’esprit un dieu. »
« Tout dans l’Univers suit l’analogie. « En bas, comme en haut » ; l’Homme est le microcosme de l’Univers. Ce qui a lieu sur le plan spirituel se répète sur le plan cosmique. »
« Chacune des Monades (de Leibnitz) est un vivant miroir de l’univers, chaque monade reflétant toutes les autres. […] Certaines Slokas sanscrites, disent que la source créatrice de l’Esprit divin, ‘cachée derrière un voile d’épaisses ténèbres, formait des miroirs avec les atomes du monde et projetait un reflet de sa propre face sur chaque atome…’ ».
« Le Temple de Dieu est en nous, entouré de matière, mais accessible à quiconque peut trouver la voie ; ceux qui sont purs de cœur voient Dieu. »
CŒUR DE LA THÉOSOPHIE
Les Vérités Éternelles
La Doctrine Secrète
« La Doctrine secrète était la religion universellement répandue dans le monde ancien et préhistorique, Les preuves de sa diffusion, les annales authentiques de son histoire, l’existence d’une chaîne complète de documents montrant son caractère et sa présence en tous pays, ainsi que l'enseignement de tous ses grands adeptes, existent jusqu'à ce jour dans les cryptes secrètes de bibliothèques appartenant à la Fraternité occulte. » ‒ La Doctrine Secrète, éd. originale anglaise, pp. xxxiv ; trad. Revue Théosophique, 1889.
« La Doctrine ésotérique enseigne, comme le Bouddhisme, le Brahmanisme, et même la Kabale, que l'Essence une, infinie et inconnue existe de toute éternité et devient tour à tour passive et active en succession régulière et harmonieuse. Dans le langage poétique de Manu, ces conditions sont appelées les « jours » et les « nuits » de Brahmâ, Celui-ci est « éveillé » ou « endormi ». Les Svabhâvikas, ou philosophes de la plus vieille école du Bouddhisme (qui existe encore au Népal) bornent leurs spéculations à la condition active de cette « Essence » qu'ils appellent svàbhàvat, et pensent qu'il est insensé de théoriser sur la puissance abstraite et « inconnaissable » dans sa condition passive. Aussi sont-ils appelés athées par les théologiens chrétiens et par les savants modernes, aucun de ces derniers n'étant capable de comprendre la profonde logique de leur philosophie. Les théologiens ne veulent pas admettre d'autre Dieu que la personnification des puissances secondaires qui ont façonné l'univers visible, et qui pour eux sont devenues le dieu anthropomorphique des Chrétiens, le mâle, Jéhovah, rugissant au sein des éclairs et du tonnerre. De son côté, la science rationaliste salue les Bouddhistes et les Svabhâvikas comme les « positivistes » des âges archaïques. Si l'on n'envisage que d'un côté la philosophie de ceux-ci, nos matérialistes peuvent avoir raison à leur manière.
« Les Bouddhistes soutenaient qu'il n'y a pas de Créateur, mais un nombre infini de puissances créatrices, dont l'ensemble forme la substance une et éternelle, dont l'essence est inscrutable, —et ne peut par conséquent être un sujet de spéculation pour aucun philosophe véritable. Socrate refusa toujours de discuter sur le système de l'être universel, et pourtant nul n'eût jamais songé à l'accuser d'athéisme, excepté ceux qui avaient juré sa perte. A l'inauguration d'une période active, dit la Doctrine Secrète, une expansion de cette essence divine a lieu, du dehors au-dedans et du dedans au-dehors, en vertu de la loi éternelle et immuable, et l'univers phénoménal ou visible est le résultat ultime de la longue chaîne des forces cosmiques ainsi progressivement mises en mouvement. De même, en retournant à la condition passive, la divine essence se contracte, et l'œuvre antérieure de la création est graduellement et progressivement défaite. L'univers visible se désintègre, son matériel se disperse ; et seule « l'obscurité » couvre une fois de plus la face de l'abîme. Pour employer une métaphore des livres secrets, qui rendra l'idée encore plus claire, une expiration de « l'essence inconnue » produit le monde ; une inhalation le fait disparaître. Ce procédé a été en action de toute éternité, et notre univers actuel n'est que l'un d'une série infinie qui n'a pas eu de commencement et qui n'aura pas de fin. ‒ Voir Isis Dévoilée, et Jours et Nuits de Brahmâ, dans la seconde partie, trad. Revue Théosophique, 1889.
Le Divin
« Et la Divinité étant absolue, est nécessairement omniprésente ; par conséquent, il n’existe pas d’atome qui ne La contienne en lui. Les racines, le tronc et ses nombreuses branches sont trois objets distincts, et cependant ils ne sont qu’un seul arbre. Les kabbalistes disent : « La Divinité est une, parce qu’Elle est infinie. Elle est triple, parce qu’Elle est toujours en manifestation. » ‒ La Doctrine Secrète, éd. originale anglaise, p. 59, ; BNF, trad. Courmes.
« Le symbole de l’œuf exprime encore le fait enseigné dans l’Occultisme, que la forme primordiale de toute chose manifestée, de l’atome à la planète, de l’homme à l’ange, est sphéroïdale, la sphère étant, dans toutes les nations, le symbole de l’Éternité et de l’Infini, un serpent avalant sa queue. Toutefois, pour réaliser cette signification, il faut penser à la sphère telle qu’elle est vue de son centre. Le champ de la vision ou de la pensée est comme une sphère dont les rayons procèdent dans toutes les directions et s’étendent dans l’espace, ouvrant tout autour d’eux des aperçus sans bornes. C’est le cercle symbolique de Pascal et des Kabalistes, « dont le centre est partout, et la circonférence nulle part », – conception qui s’ajuste à l’idée complexe de ce symbole.
« L’Œuf du Monde » est peut-être un des symboles le plus universellement adoptés, et il est hautement suggestif, tant dans le sens spirituel que dans le sens physiologique et cosmologique. On le trouve, par conséquent, dans toute théogonie du monde, et il y est constamment associé avec le symbole du serpent, ce dernier étant partout, dans les philosophies comme dans les religions, l’emblème de l’éternité, de l’infini, de la régénération et de la sagesse. Le mystère de la soi-génération apparente et de l’évolution par son propre pouvoir créateur, répétant en petit, dans l’œuf, le processus de l’évolution cosmique, – processus dus tous les deux à la chaleur et à l’humidité vitalisées par le rayonnement de l’esprit créateur invisible, – justifie pleinement le choit de ce symbole expressif. » ‒ La Doctrine Secrète, éd. originale anglaise, p. 65 ; BNF, trad. Courmes.
L’univers : évolution et interdépendance de toutes les consciences
« L’Univers est élaboré et guidé du dedans au dehors. Il en est en bas comme en haut, sur la terre comme dans le ciel, et l’homme, microcosme et copie en miniature du macrocosme, est le témoin vivant de cette Loi universelle et de son mode d’action. Nous remarquons que chaque mouvement, chaque action ou geste externe, qu’il soit volontaire ou mécanique, organique ou mental, est produit et précédé par une sensation ou une émotion interne, volonté ou volition, pensée ou intelligence. Comme aucun mouvement ou changement externe, lorsqu’il est normal, ne peut se produire dans le corps extérieur de l’homme sans être provoqué par une impulsion intérieure donnée par l’une des trois fonctions dont nous venons de parler, il en est de même pour l’Univers externe ou manifesté. Le Kosmos entier est guidé, contrôlé et animé par une série presque infinie de Hiérarchies d’Êtres sensibles ayant, chacun, une mission à remplir et qui, quelque nom que nous leur donnions, – que nous les appelions Dhyârc-Chôhans ou Anges, – sont des « Messagers » ; uniquement en ce sens qu’ils sont les agents des Lois karmiques et cosmiques. Ils varient à l’infini dans leurs degrés respectifs de conscience et d’intelligence, et les appeler tous des Esprits purs, sans aucun des mélanges terrestres « dont le temps a coutume de faire sa proie », c’est simplement se permettre une licence poétique. En effet, chacun de ces Êtres a été un homme dans un Manvantara précédent ou se prépare à le devenir dans le Manvantara actuel ou, dans un Manvantara à venir. Ce sont des hommes perfectionnés quand ils ne sont pas des hommes naissants et, dans leurs sphères supérieures et moins matérielles, ils ne diffèrent, moralement, des êtres humains terrestres qu’en ce qu’ils ne possèdent pas le sentiment de la personnalité et de la nature émotionnelle humaine, – deux caractéristiques purement terrestres. Les premiers, ou les « perfectionnés », se sont libérés de ces sentiments, parce que (a) ils n’ont plus de corps charnels, – ce poids qui engourdit toujours l’âme, et (b) parce que, le pur élément spirituel étant laissé sans entraves et plus libre, ils sont moins influencés par la Mâyâ que ne peut jamais l’être l’homme, à moins qu’il ne soit un Adepte, c’est-à-dire un être capable de tenir entièrement séparées ses deux personnalités, – la spirituelle et la physique.
« Les Monades naissantes, n’ayant jamais eu de corps terrestres, ne peuvent éprouver aucun sentiment de personnalité ou d’égoïsme. Ce qu’on entend par « personnalité » étant une limitation et une relation, ou, comme Coleridge la définit, « une individualité existant par elle-même, mais avec une nature comme base », le mot ne peut naturellement pas s’appliquer à des entités non-humaines ; mais, ainsi qu’il a toujours été constaté par des générations de voyants, aucun de ces Êtres, supérieur ou inférieur, n’a d’individualité, ni de personnalité, comme Entité séparée ; ils n’ont pas d’individualité dans le sens que donne à ce mot l’homme qui dit : « Je suis moi et personne d’autre » ; en d’autres termes, ils ne sont pas conscients d’une séparativité distincte, comme celle qui existe pour les hommes et les choses de la terre. L’individualité est la caractéristique de leurs Hiérarchies respectives et non de leurs unités, et ces caractéristiques varient seulement avec le rang du plan auquel appartiennent ces Hiérarchies ; plus elles se rapprochent de la région de l’Homogénéité et de l’Un divin, plus cette individualité est pure et peu accentuée dans la Hiérarchie. Ils sont finis sous tous les rapports, sauf en ce qui concerne leurs principes supérieurs, – les étincelles immortelles qui réfléchissent la Flamme divine universelle individualisée et séparée seulement, sur les sphères de l’illusion, par une différenciation aussi illusoire que le reste. Ce sont des « Êtres vivants », parce que ce sont des courants projetés de la Vie Absolue sur l’écran cosmique de l’illusion ; des êtres dans lesquels la vie ne peut s’éteindre avant que le feu de l’ignorance ne soit éteint chez ceux qui ont le sentiment de ces « Vies ». […] ‒ La Doctrine Secrète, éd. originale anglaise, pp. 274-6 ; BNF, trad. Courmes.
L’homme est une copie du grand univers – L’application universelle des lois : « Selon l'enseignement de la philosophie hermétique, l'homme est une copie du grand univers ; il est lui-même un petit univers régi par les mêmes lois que le grand univers ; il manifeste en lui, dans des proportions humaines, l'activité de toutes ces grandes lois réduites seulement dans leur durée et dans leur portée. C'est à cette règle qu'adhère H. P. Blavatsky et on la rencontre dans tous les mystères et les initiations de jadis. » « Toute loi affectant l'homme doit aussi gouverner chaque partie de l'univers dans lequel il vit ».
« Nous découvrons ainsi que l'espace dont la caractéristique spécifique est le son, est représenté, dans l'organisme humain, par l'oreille comme le feu l'est par l'œil ; de plus l'œil révèle l'âme, car l'âme seule conquiert la mort et, dans les Upanishads, ce qui vainc la mort c'est le feu [de l’Esprit ou Atman] ».« Le grand attrait que la théosophie offre à ceux qui suivent son enseignement réside en ce que ses doctrines sont universelles et résolvent toutes les questions en s'appliquant à tous les domaines de la nature, pour autant que nous les connaissons. » « Si nous cherchons à savoir comment [les lois] s'appliquent partout, nous détenons le moyen d'élargir notre horizon et d'éliminer notre égoïsme. Et si nous essayons aussi d'appliquer les doctrines à toutes nos actions et à toutes les parties de l'être humain, nous avons des, chances de commencer à nous éveiller à la tâche réelle [la responsabilité] qui nous attend. » ‒ W.Q. Judge, article « L’application universelle de la doctrine ».
Le bien et le mal
« Les théories des Kabalistes représentent partout le Mal comme une force qui est opposée mais, en même temps, nécessaire au Bien, comme lui conférant une vitalité et une existence qu’il ne pourrait jamais avoir autrement. Il n’y aurait pas de Vie possible (dans le sens mayavique) sans la Mort ; pas de régénération et de reconstruction sans destruction. Les plantes périraient bien qu’éternellement en plein soleil, et il en serait de même de l’homme, qui deviendrait un automate privé de son libre arbitre et de son aspiration vers cette lumière solaire qui perdrait pour lui sa vitalité et sa valeur s’il n’avait qu’elle. Le Bien n’est infini et éternel que dans ce qui nous est éternellement caché, et c’est pourquoi nous nous imaginons qu’il est éternel. Sur les plans manifestés, l’un fait équilibre à l’autre. […] Jacques « le frère du Seigneur » proteste formellement contre cette façon de s’exprimer : « Que nul, lorsqu’il est tenté, ne dise : Je suis tenté par Dieu ; car Dieu ne peut, ni être tenté par le mal, ni tenter aucun homme » [Épitre de S. Jacques, I, 13]. ‒ La Doctrine Secrète, éd. originale anglaise, pp. 413-4 ; BNF, trad. Courmes.
LA CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)
L’homme créateur de sa destinée
Les idées innées dans l’homme
« Les sages expliquent que le fait que certaines idées [innées, comme le Bon, le Vrai, le Juste et le Beau] soient communes à l’humanité entière est dû à la réminiscence de ces idées qui furent implantées dans le mental humain tout au début de sa carrière évolutive sur cette planète par les frères et les sages qui avaient appris leurs leçons et atteint leur perfection dans des âges antérieurs, bien avant que ne commençât le développement de ce globe. La science ne nous offre aucune explication pour ces idées inhérentes, elle se contente de dire qu'« elles existent ». En fait, elles furent enseignées à la masse des Egos engagés dans l'évolution de cette terre ; elles furent gravées, marquées en caractères de feu dans leur nature et reviennent toujours à la mémoire ; elles suivent l'Ego à travers le long pèlerinage. »
« La réincarnation est la plus noble de toutes les doctrines ; elle seule, avec celle de karma, sa compagne, fournit une base pour l'éthique. » ‒ W.Q. Judge extrait de l’Océan de Théosophie, p. 92.
« Pourquoi l'univers existe-t-il, et pour quel but final l'homme, le penseur immortel, évolue-t-il ici-bas ? Tout est pour l'expérience et l'émancipation de l'âme, dans le but d'élever la masse entière de matière manifestée jusqu'à la stature, la nature et la dignité de la divinité consciente. Le grand but est d'atteindre à la soi-conscience, non par l'entremise d'une race, d'une tribu ou d'une nation privilégiée, mais par le perfectionnement graduel - après transformation - de toute la masse de matière comme de ce que nous appelons maintenant âme. Rien n'est, ni ne sera laissé de côté. Le but pour l'homme actuel est son initiation à la connaissance complète et, pour les règnes qui lui sont inférieurs, leur élévation progressive de stade en stade, afin qu'eux aussi soient initiés en leur temps. Telle est l'idée d'évolution dans toute sa puissance et c'est une perspective magnifique ; elle fait de l'homme un dieu, et donne à tout ce qui fait partie de la nature la possibilité d'atteindre un jour ce même état. Il y a de la force et de la noblesse en cette idée, car aucun homme n'en est amoindri ou rabaissé, et nul n'est originellement si grand pécheur qu'il ne puisse s'élever au-dessus de tout péché. […] Les religions actuelles maintiennent un climat de crainte et s'imaginent en même temps qu'un Être Tout-Puissant ne pourrait penser qu'à notre terre et qu'il lui faudrait, de plus, la gouverner très imparfaitement. Mais l'ancienne doctrine théosophique conçoit l'univers comme un vaste ensemble complet et parfait. » ‒ W.Q. Judge extrait de l’Océan de Théosophie, pp. 64-5.
Le destin divin de l’homme
Extraits de la Bhagavad-Gîtâ :
« Ne sois pas en proie à l'affliction, car tu es né avec le destin divin. » (Ch. XVI, v. 5).
« Cherche cette sagesse en servant, par une puissante recherche, au moyen de questions et de l'humilité ; les sages qui voient la vérité te la communiqueront et, la connaissant, jamais, tu ne retomberas dans l'erreur. Par cette connaissance tu verras toutes choses et toutes créatures en toi-même d'abord et ensuite en moi. Même si tu étais le plus grand des pécheurs, tu parviendrais à traverser l'océan des péchés sur la barque de la connaissance spirituelle. Tel le feu naturel, réduit le bois en cendres, de même le feu de la connaissance réduit en cendres toutes les actions. Il n'existe ici-bas nul purificateur comparable à la connaissance spirituelle ; et celui qui est parfaitement consacré verra, dans le cours des temps, la connaissance spirituelle jaillir spontanément en lui. » (Ch. IV, v. 34-38).
« Il y a dans le cœur de chaque créature, le Maître —Îshvara — qui, par son pouvoir magique, cause la rotation de toutes les choses et de toutes les créatures sur la roue universelle du temps. Prends refuge en lui seul, et de toute ton âme ; par sa grâce tu obtiendras le bonheur suprême, le lieu éternel. » (Ch. XVIII, 61-62).
ARTICLES ET DOCUMENTS
Il est proposé à la lecture (pour en savoir plus) :
- H.P. Blavatsky : La Voix du Silence.
- Lettre n°15 : « Il n’y a pas de Religion au-dessus de la Vérité ».
- Lettre n°20 : Le Mouvement Théosophique.
- Lettre n°52 : Les propositions fondamentales de la philosophie de la Théosophie.
- Article de H.P. Blavatsky : « Qu’est-ce que la vérité ? »
- Article de W.Q. Judge : « Application universelle de la doctrine »
- Articles de Robert Crosbie : « Les Vérités éternelles » (Cahiers Théosophiques n°180 à 188).
- Note : « La vérité : approche universelle ».
MÉDIATHÈQUE
Il est proposé :
Vidéo : « La voie de la Compassion vécue par les Sages »
Audio : « Le langage universel des symboles et des Sages »
Audio : « Vérités relatives et vérité absolue. »