La vie : réflexions sur les observations de la science
Le cheminement de la recherche
Voici deux questions que la science doit résoudre :
L’évolution par apprentissage requière une mémoire qui s’enrichie, quelle est la Forme de mémoire de la vie ?
Où et comment l’information mémorielle est-elle stockée ? On sait maintenant que ce n’est pas dans des neurones !
Nous tenterons de donner quelques réponses basées sur l’avancée de la science que nous comparerons avec la pensée des spiritualités anciennes.
Trois éléments fondamentaux
Scientifiquement 3 éléments fondamentaux constituent la vie : le photon, l’eau et la fréquence vibratoire cyclique.
1er élément : le photon ou la lumière, porteur d’énergie est LA source primordiale de la vie.
Le photon, la lumière, est la brique fondamentale de l’univers physique, (créer dans le cœur des étoiles, notre soleil, il lui faut entre 1.000 et 170.000 ans pour en sortir). Rien ne peut exister sans le photon ; Toute vie est issue de cet élément paradoxal, car c’est une particule physique que l’on peut isoler et piéger, et également une onde qui passe en même temps par toutes les fentes d’un filtre. En fait tout ce qui vit est formé de photon, de lumière. Nous sommes véritablement des êtres de lumière.
L’expression théosophique « enfants de lumière » n’a pas une métaphore, c’est une réalité scientifique.
2ème élément : L’eau H2O, glue les particules baryoniques dans le référentiel quantique.
La science a découvert que l’espace n’est pas vide, il est rempli de fréquences et se comporte comme un milieu aquatique rassemblant les particules entre elles.
Il se trouve que nos cellules sont composées à 99% de la molécule H2O et que l’eau recouvre les 3/5ème de notre planète. Donc tout ce qui influence l’eau influence nos cellules, notre structure physique, et donc notre psychisme. Les ondes électromagnétiques (smartphones...) ont une influence sur la molécule d’eau, donc sur nous (four à micro-ondes agite les molécules d’eau ce qui génère de la chaleur).
À certaines fréquences les liaisons moléculaires structurant l’enveloppe de protection d’une molécule biologique, peut être détériorée et ainsi laisser passer des particules tueuses du noyau, notamment dans le cerveau. C’est juste une question de fréquence.
Le 1% qui reste est composé :
- d’ions inorganiques, les ciseaux moléculaires
- d’acides organiques aminés (colles moléculaires permettant la création des protéines)
- de lipides (les graisses « liquéfier les particules absorbées »)
- de glucides (les sucres, « agglutiner les particules pour provoquer de l’énergie »)
- de nucléotides (les briques des molécules organiques)
L’eau est en relation directe avec la substance astrale des métaphysiciens. Les textes sacrés la nomment « L'Eau de la Vie – "l'Abîme" de Mère-Nature.
L’eau est mentionnée dès le 1er chapitre de la Genèse :
- 2 : Et l’Esprit de Dieu planait sur la face des eaux.
- 6 : Et Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux.
- 7 : Et Dieu fit l’étendue, et sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue.
Scientifiquement cela pourrait représenter notre univers physique baryonique, les eaux d’en bas et son aspect invisible au-delà des limites de Planck, les eaux d’en haut.
Dans le Talmud, Michel est le "Prince de l'Eau" et le chef des Sept Esprits. Dans les Védas le chef des Kumaras est appelé Ambhâmsi, "les Eaux" (voir The Secret Doctrine, vol. I, pp. 457-460).
Les "Eaux" sont un autre nom donné au "Grand Abîme", les Eaux primordiales de l'Espace ou Chaos et signifient aussi Mère Ambâ, qui veut dire Aditi et Akâsha, la Vierge-Mère Céleste de l'Univers visible. Désolé pour ces références mystiques, elles seront utiles aux chercheurs.
Les traditions baptismales sont universelles : Selon la Doctrine Secrète : Métaphysiquement le baptême par l’eau représente une renaissance à travers cet élément, il initie le pouvoir de la maîtrise du disciple sur ce plan (physique). L’étape suivante est le baptême par le feu, (symbolisé par l’huile) il initie le pouvoir liant le disciple avec celui de l’esprit. Le disciple devient Karana-Sarira, l’Ego divin incarné. Le corps physique est abandonné au profit du corps glorieux de lumière. C’est celui de Jésus après sa résurrection… il est né de nouveau.
Les recherches scientifiques ont misé en évidence les relations mémorielles entre les champs électromagnétiques, l’activité physiologique mentale et les agencements des molécules d’eau… Les liaisons H2O ne changent pas mais leur déploiement dans l’espace est modifié sous l’influence environnementale. Cette modification reste stable dans le temps et cette géométrie structurale impacte la croissance des organismes vivants qui absorbe cette eau.
Ainsi l’eau structurée devient un antibiotique efficace, ou un poison violent relativement à sa géométrie structurale.
Les influences sur la structure des molécules d’eau mettent en évidence la fonction mémorielle, puisque la forme structurelle de l’eau représente une expérience subit par l’eau, il est possible de connaitre les influences traversées par l’eau en observent sa structure. Une publication scientifique de haut niveau a mis en évidence la modification structurelle des molécules d’eau avec les effets fonctionnels de l’homéopathie…Oups ! Ce ne sont pas les molécules du produit mis en contact avec l’eau mais leurs fréquences qui modifient la structure de l’eau.
Tout est une affaire d’énergie, et l’énergie se déploie sous forme de vibrations, de fréquences entre 2 extrêmes. Ce qui nous amène à la notion de Cycle.
3ème élément : Le rythme du temps, la vibration de l’espace-temps donc de la matière.
La vibration marque les Cycles, les Kalpas. C’est pourquoi cette notion de cycle se retrouve comme un élément sacré dans toutes les civilisations antiques.
Il est étrange de voir le temps comme un élément, et pourtant il est malléable, comme un élément ; il est possible ralentir le temps, de l’accélérer ou le rendre nul… C’est ce qui ce passe dans une étoile à neutron ou un trou noir… Les expériences effectuées dans les accélérateurs de particules, ont mis en évidence que la matière suit les lois de la musique dans ses transformations : tant que la fréquence de la particule reste dans le référentiel des 7 ½ tons de la gamme tempérée, découverte par Jean Sébastien Bach, (7 demi-tons modulo 2 = 7/12) la particule est viable et persistante, mais toutes particules vibrant en dehors de cette famille de fréquences ne survivent pas.
En ce qui nous concerne, la chaîne protéique constituant nos molécules se distribue aussi le long de cette harmonie vibratoire. Jouer une partition protéodique, produit soit des guérisons soit des maladies mortelles. Juste avec de la musique dont les notes sont alignées sur les fréquences des molécules organiques. Certains chercheurs en ont malheureusement fait les frais, non réversibles.
Les sons de la musique, influencent en profondeur l’activité de nos molécules, de notre cerveau, de notre psychisme. Là où il y a de l’espace il y a des fréquences donc de la matière donc de l’énergie et inversement. C’est la dernière découverte de la physique quantique.
Notre processus de création est directement dépendant de nos pensées et nos pensées sont dépendantes de notre état d’esprit. Nous sommes tous liés par les fréquences audibles et inaudibles. Toutes les civilisations, à toutes les époques, ont utilisées des chants sacrés. Les psaumes doivent être chantés selon des règles non dévoilées aux non-initiés. L’hermétisme des religions étaient transmis pas ces harmonies chantées. On trouve par ex. dans le Judaïsme et l’Hindouisme, des ordres sacerdotaux garants de la transmission orale des chants les mantras et les psaumes. Dans certains ouvrages mystiques ce ne sont pas les mots qui dévoilent les secrets de la connaissance, ce sont les manières de les chanter, de les psalmodier.
Si le Sepher Yetsirah hébreux signifie « le chiffré » certains ouvrages de la Torah doivent être psalmodiés selon les harmonies de la gamme tempérées. On retrouve cette gamme de fréquence dans tous les objets du cosmos.
Les secrets mystiques sont préservés dans le domaine des nombres, comme dans le Sepher, et dans le domaine des fréquences, mantras (les syllabes sacrées) ou dans la métaphysique du Talmud (la "Face Inférieure", "l'Apparence Moindre" le Microprosopus).
Le Nada yoga, le système musical des Védas, est basé sur 108 sons en relation directe avec les vibrations des 108 chakras du corps humain. L’objectif n’est pas de se faire plaisir avec de la musique mais d’aider le disciple, en activant les énergies des 108 centres énergétiques du corps.
Toute forme de vie est investie d’une oscillation fréquentielle, symbolisée par le serpent se mordant la queue, le cycle du temps sans commencement et ni fin.
Un cycle est le parcours d’une énergie dans un espace, sous la forme d’une sinusoïde en 5 temps :
- Emergence (le fait de sortir de la surface de l’eau)
- Développement (l’énergie se déroule dans le temps, chaque instant est aussi une sinusoïde, dans un schéma fractal)
- Culminance (l’équilibre de la singularité énergique)
- Décroissance de la quantité d’énergie disponible
- Repos = rechargement = assimilation = transformation (c’est une des fonctions du sommeil)
Notre cycle de veille-sommeil, de vie et mort, suit ce mouvement cyclique universel.
La notion de cycle est une réalité universelle
Même la matière noire est en rotation et c’est cette rotation qui donne l’apparence du mouvement des galaxies. Le mouvement cyclique s’exprime dans les 4 dimensions : 3 pour l’espace, 1 pour le temps qui fluctue également et qui donne l’échelle des évènements. C’est dans cet aspect qu’il est possible de trouver les lois unifiées de la vie.
Les traditions mystiques révèlent cette loi des rythmes & cycles, entre autres, par les danses sacrées : la danse cosmique de Shiva dans les cultures Védiques et hindouistes, la danse du roi David dans le judaïsme, la dance des 7 voiles dans les cultures mésopotamiennes sémitiques des Akkadiens, Babyloniens, Assyriens, représentent les 7 enveloppes de la déesse Ishtar lors de sa descente aux enfers.
Rappelons pour les chercheurs, qu’un des attributs de la déesse Ishtar est le Tau ou Hankh (signifie vie et je suis en égyptien) il symbole l’incarnation (barre verticale) de l’esprit (cercle supérieur) dans la matière (barre horizontale). C’est le symbole universel de la croix. Il est aisé pour l’étudiant de faire un parallèle entre les 7 voiles de la déesse Ishtar et la constitution en 7 principes ou enveloppes de l’homme incarné, capable de dire « je suis » ce que le corps seule ne peut pas faire car sans son élément de conscience, il n’est qu’un véhicule.
Les représentations mythologiques cachent des vérités mystiques, et certainement pas des croyances superstitieuses. Disons que les mythologies sont des masquent dissimulant une réalité métaphysique. La transmission d’une connaissance universelle s’y cache, mais les clefs n’en sont dévoilées qu’à ceux qui ont prêtés serment de servir, tout le vivant, par la fraternité, l’amour et la compassion, tel une goutte d’eau immergée dans l’océan de l’univers.
L’incroyable précision du « réglage des paramètres cosmiques »
La précision du « réglage des paramètres cosmiques » démontre que la vie n’arrive pas par hasard.
Pour que la vie émerge « telle que nous l’observons », la précision de couplage des 15 premières constantes fondamentales de l’univers + des 20 acides aminés est de l’ordre de 10^-40 ; le 1er chiffre #0 apparait à la 40ème position après la virgule : c’est plus précis que la plupart des constantes de Planck définissant la frontière physique observable de l’univers au-delà de laquelle les lois de la physique sont invalides. Constantes car leur valeur est identique d’un bout à l’autre du cosmos. Si un seul chiffre était différent même à la 30éme décimales, l’univers n’existerait tout simplement pas et la vie non plus.
La précision des constantes de Planck c’est 10-43 pour le temps, 10-33 pour la distance, 6,63.10^-34 pour l’énergie. Les 3 premières :
- la vitesse de la lumière: c = 299 792 458 m/s
- la constante de gravitation: G =6,67428.10-11 m3.kg-1.s-2
- la constante de Planck : h=6,626 068 96.10-34J.s
La protéine constituant la brique de la vie est composée de 20 acides aminés. Or, il existe plus de 2 × 1018 façons de placer 20 entités le long d’une chaîne (factoriel 20 !).
La réalisation des différentes combinaisons demanderait plus de temps que l’âge de l’univers (13,8 milliards d’années, 1012).
Pour que la nature tombe pile poil sur la bonne combinaison de ces constantes permettant l’émergence de la vie, il y a 1 chance 10^43 (le temps de Planck).
À ce degré de précision, aucun scientifique ne peut encore prétendre que la vie est un hasard.
Un principe anthropique (une loi intelligente) est à l’œuvre dans la genèse et l’équilibre persistant de l’univers.
La synergie des trois éléments produit la vie
Cette synergie Interdépendante constitue 1ère loi de la nature. Le travail combiné de la lumière et de l’eau et des vibrations permet l’émergence de la vie physique (baryonique).
Mais une logique harmonieuse se cache derrière ces aspects. Tout le monde peut lire et comprendre les chiffres et des nombres enregistrés dans un fichier audio sur son PC ou son smartphone, mais qui réalise vraiment en observent ces nombres que leur expression cache la 5ème symphonie de Beethoven ou la flute enchantée de Mozart ? Il faut un décodage spécifique pour transcender ces nombres en fréquences se dévoilant dans leur sens caché. Il en va de même de la compréhension de la vie. Nous en sommes là en ce moment où nous observons des constantes cosmologiques, sans en percevoir les harmonies cachées de la nature.
Mais l’impulsion de ce travail associatif trouve son origine sur un plan supérieur au plan physique : les Védas parlent de l’impulsion de la conscience dans la matière. Dans les religions il est question du Logos (en fait il y a 3 logos…). Ce déploiement synergétique est symbolisé par l’image du caducée.
Le caducée est LE symbole holistique de la VIE (The Doctrine Secret, vol. I, pp. 549-550),
Voici une des significations de son mystère Védique, avant sa modification par les Grecs :
- La tête centrale supérieure représente le Logos manifesté Brahma.
- Entouré des ailes du temps, l’oiseau sacré, le cygne HANSA est le seul capable de séparer dans son breuvage mêlant le lait de sagesse d’avec l’eau la matière. Il boit le lait et laisse l’eau.
- Le tronc vertical symbolise l’arbre de vie, Asvattha, et sa descente dans la matière : l’incarnation du Logos sur le plan physique.
- Entouré par le « toujours-vivant » et son illusion, le double serpent de l’Esprit et de la matière, les 2 têtes se nourrissent du Logos, de l’unique tête centrale entre les ailes du temps, les corps enlacées descendent autour du tronc, se rejoignant à la base de l’arbre de vie, dans l’univers manifesté ou ils ne font qu’un, dans une grande illusion (Esprit-Matière).
Les 5 éléments mystiques de la vie sont rassemblés dans cette unique représentation de la manifestation de la vie. Mais ces 5 éléments du caducée cachent 7 réalités mystiques.
À propos de synergie et de coopération
Nous croyons vivre mais avons-nous conscience que sans les microbiotes qui interagissent dans notre système digestif nous serions tous morts ? Sans les bactéries qui interagissent sur notre peau nous serions tous morts ? Qui est vivant ? Notre personne ou l’ensemble des êtres qui interagissent et nous permettent de rester vivant ? A l’échelle de nos microbes nous sommes individuellement leur dieu. Nous pensons qu’ils n’ont pas de conscience par ce que nous croyions jusqu’à très récemment que le siège de notre conscience était le cerveau, mais la science à démontrée qu’il n’en était rien. Il en est de même pour tout le genre humain ; sans l’interaction coopérative de tous les individus nous ne pourrions pas vivre. Sans l’interaction de tous les règnes, minéral, végétal, animal, l’humain ne pourrait pas vivre. La vie est un continuum, de l’invisible au visible, et tous les règnes sont impactés par notre façon d’exister, d’agir, de penser, en relation avec tout le vivant.
Cette Interdépendance c’est la Fraternité c’est LA loi fondamentale de la nature
L’interdépendance s’exprime dans nos vies d’humains comme la loi de fraternité.
Nous croyons vivre mais nous n’avons pas conscience que des milliards de vies s’activent et interagissent, dans notre corps, et tout autour de nous, nous permettant d’être et de rester vivant ?
Un pouvoir intelligent se cache derrière la vie, derrière toutes vies, et sans l’interaction de toutes les vies, rien ne pourrait exister. Tous les règnes sont impactés par notre façon d’exister.
C’est une vision holistique présenté par la Théosophie dans toutes les traditions mystiques de toutes les cultures et à toutes les époques. Les sciences spirituelles des antiques civilisations, avaient réalisées des découvertes qui sembleraient des miracles aux yeux de notre science moderne. Oui « Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, que n’en imagine notre philosophie et notre science » (William Shakespeare, Hamlet, 1598)