Un lien particulièrement intime relie Tsong-Kha-Pa, l'Avatar tibétain de Gautama le Bouddha au quatorzième siècle avec les étapes récentes du Mouvement théosophique. En effet, il ne fut pas seulement un réformateur du Bouddhisme à son époque et dans sa patrie, mais il donna aussi une forte impulsion pour l'extension de la Religion-Sagesse à travers le monde. Il prévit naturellement la « découverte » de l’Amérique et l’ouverture de ce vieux nouveau continent, à la colonisation européenne. Et bien qu'il s'intéressât sans nul doute à la préservation des reliques de la Sagesse qui existaient encore en Occident, son but prédominant fut sûrement de préparer ce nouveau monde, avec ses immigrants venus d'Europe pour y constituer le terrain de semence pour la formation de la future sixième sous-race.
À Tsong-Kha-Pa et à ses coopérateurs, l'Europe du quatorzième siècle a pu sembler bien pauvre en promesses, mais certainement moins qu'elle ne l’avait été précédemment, alors que le mental occidental était étroitement fermé et bridé par le Saint Empire Romain et la Sainte Eglise Romaine. La poigne, nue comme gantée de ces deux forces stupéfiantes avaient déjà été quelque peu relâchées par la renaissance de la culture grecque et latine, qui fut elle-même le résultat d’une influence d’Adeptes antérieurs à Tsong-Kha-Pa et qui, durant sa vie, transformait rapidement le mental européen. Pour une vision telle que celle de Tsong-Kha-Pa, le temps était vraiment mûr pour l'action, le labour et les semailles. Aussi, en élevant et en purifiant des groupes d'Adeptes orientaux, fit-il entrer dans les rangs les travailleurs nécessaires pour l'Occident comme pour l'Orient. Cela devait être un moyen de produire dans l'avenir, une étroite réciprocité entre les deux parties du monde ; et c'était une impulsion vers la restauration, dans des âges lointains, de la primitive grandeur spirituelle de l'Inde. De là aussi, sa mise en place d’un cycle d’apport spécial de Sagesse au dernier quart de chaque siècle, qui ne fut qu’une autre étape dans le déroulement du Plan.
Ce dévoilement cyclique de la vraie Philosophie, en Occident, est facile à suivre, il atteint un point culminant dans le Mouvement Théosophique des XIXe et XXe qui fut d’une valeur inestimable pour le monde en général. Sans l’utilisation que fit Tsong-Kha-Pa au XIVe siècle de la marée montante de la pensée en Europe, le mouvement actuel eût pu être indéfiniment retardé. Le simple exposé de ce fait indique la qualité de la reconnaissance que chaque théosophe réfléchi devrait avoir pour le grand Avatar du XIVe siècle.
Le Tibet, bien que considéré par les peuples occidentaux comme très arriéré apparaît, après une étude plus profonde, comme une espèce de terre sacrée. Dans un article intitulé « Lamas et Druses », publié par H.P. Blavatsky, dans le Theosophist de Juin 1881, on trouve d’intéressantes suggestions. L'article signale de fortes ressemblances entre les Druses en Syrie et les Lamas au Tibet. Étymologiquement, y est-il dit, le nom du Tibet a une autre forme — Ti-Boutta. C'est, en partie, un nom chinois, Ti signifiant dieu, et Boutta étant dérivé de Buddha ou Buddhi, Sagesse. Les Druses déclarent qu'autour du plateau du Pamir, on doit localiser le berceau de la vraie race, mais, ajoutent-ils, le berceau de l'humanité initiée seulement ; de ceux qui ont pour la première fois goûté du fruit de la connaissance ; et ceux-ci se trouvent au Tibet, dans la Mongolie, la Tartarie, la Chine et l'Inde. De ces pays, le Tibet, surtout, a échappé à l'influence du monde extérieur. Toujours, d'après ce même article, « le nom en hébreu pour sanctuaire est Te-bah et Ti-Boutta et Tebet, également berceau de la race humaine, Thebeth signifiant “une caisse” — l'“arche” de Noé et le berceau flottant de Moïse ».
De ces suggestions, on ne peut être loin de conclure que le Tibet, au temps où on lui donna ce nom, était une terre de dieux de la Sagesse, ou de hauts Initiés. Et ce n'est pas davantage une fantaisie de supposer que « l'antique et honorable Chine », ainsi que les autres pays nommés, fournirent quelques-uns de leurs Êtres spirituellement évolués aux habitants de cette terre sacrée et en partie presque secrète.
Dans les livres théosophiques, on cite Tsong-Kha-Pa comme une réincarnation de Gautama le Bouddha et, comme tel, on voit clairement sa fonction de Grand Instructeur de l'Humanité. En conséquence, cette terre de Sagesse du Tibet — et la section orientale où l'antique enseignement exista, et existe encore, dans sa forme pure — est devenue un lieu de demeure terrestre convenant à ce Transmetteur de la Sagesse. Dans la région du Tibet où l’on trouve des noms chantants, comme Amdo, Koko-nor, une femme mit au monde un fils et le consacra au service des Enseignements de la Sagesse. La réponse de ce fils à cette consécration a prouvé la nature de l'Être à qui cette mère avait donné un instrument physique. Il plia cet instrument aux services les plus nobles possibles de ses compagnons et de leurs cadets.
Comme, avec les années, il devenait de plus en plus conscient de sa mission — promulguer et répandre la doctrine bouddhique du grand Gautama — Tsong-Kha-Pa étendit ses regards sur tout ce qui avait été jadis la terre des dieux de la Sagesse, et il trouva que, par le pouvoir des « opposés », le divin dans la population se trouvait confondu avec le démoniaque et était presque écrasé par lui. Le pur Bouddhisme (l'essence même de la nature de ce grand personnage) qui avait été au temps de Gautama « la doctrine inépuisable, secrète et éternelle » — était profané ; « l'art puissant » était perdu. De faux prêtres et des lamas s'étaient multipliés à un tel point qu'un nettoyage complet était nécessaire. Dans ses mains puissantes, Tsong-Kha-Pa éleva le fléau du batteur et le van purificateur. Grâce à ses efforts, comme cultivateur et guerrier, survint une révolution qui chassa de cette terre outragée bien des milliers de moines honteux qui avaient changé leur religion ancestrale en un moulin à prière et une « une marchandise à vendre » (Note 1). Et, pour fortifier ceux qui furent autorisés à rester, il fonda les Gelugpas « les Bonnets jaunes, la secte bouddhiste la plus noble et la plus spirituelle du Tibet » ; il fonda aussi « la Fraternité mystique reliée aux chefs de cette secte ».
On trouve, dans les livres théosophiques seulement quelques bribes concernant Tsong-Kha-Pa, — un conte évoquant l’épanouissement d’un merveilleux lotus bleu au moment de sa naissance ; des histoires de l'effet revivifiant de sa chevelure sur le fameux Arbre de Kum-Bum. Inspirantes comme le sont ces histoires, le meilleur moyen de s'en servir c'est d'en faire un doux accompagnement à une recherche plus profonde de l'héritage spirituel de l'Avatar, ou pour mieux dire, de sa lignée.
La prétention à une immaculée conception concerne plutôt la vie exotérique de tel ou tel autre Gand Être, et peut donc être considérée comme relativement sans importance. Plus véritablement instructif est le fait d'arriver à reconnaître la réelle nature intérieure d'un tel Être, comme réceptacle et véhicule de ce qu'il fut antérieurement. Même dans une simple tentative en vue de suivre les relations entièrement supra-physiques qu'une telle nature impliquerait, les identités et différenciations en dehors du domaine des sens, il est bon de rappeler la signification réelle de certains mots : comme Fils, Logos, Bouddha.
« Fils », dans les plans supérieurs de pensée, équivaut à émanation ; souvent il signifie le résultat ou la conséquence de la Volonté et du Yoga ; il doit être débarrassé de toute idée d’une nature physique qui lui serait associée.
Quant au Logos, le premier Logos est le « Suprême Bouddha ». C'est le « rayon brillant » que « l'Un inconnu... identique à Parabrahm [l’Absolu] ... émet ... de ses ténèbres » (S.D., I, 571). Le premier Logos contient, en puissance, tout ce qui émane de lui. « C'est un centre d'énergie » qui « se lance dans l'existence » (S.D., I, 428). Cette « Sagesse cachée de... l'Un Suprême » (S.D., I, 110) est appelée Avalokiteshvara, — ce mot signifiant « le Seigneur qui regarde d'en haut ». Le terme chinois pour Avalokiteshvara, est Kwan-Shi-Yin ; « interprétés littéralement les mots signifient “Le Seigneur qui est vu”, et dans un sens, “le SOI divin perçu par le soi (le Soi humain) — l'Âtman... perçu par... Buddhi, le sixième principe ou Âme divine dans l'homme” » (ibid, I, 471).
Le Premier Logos, trop élevé, « ne peut se manifester, mais envoie, dans le monde de la manifestation, son… “Cœur de diamant”… le second Logos » (ibid. I, 571). Celui-ci aussi est appelé Avalokiteshvara, car « il y a deux Avalokiteshvaras en Ésotérisme ; le premier (le Logos non manifesté) et le second (le Logos manifesté) » (S.D., I, 72). « Cette première manifestation » (second Logos), étant (aussi) la « synthèse ou l'agrégat de la Sagesse Universelle... contient en lui-même les Sept Armées Créatrices » (ibid, I, 72). C'est « l'agrégation synthétique de tous les Esprits planétaires, les Dhyâni-Chohans » (ibid, I, 471). Ou, en d'autres termes, du second Logos « émanent les Sept... Dhyâni-Bouddhas ». Jusqu'à ce jour, « cinq seulement se sont manifestés », les « deux derniers doivent venir dans la sixième et la septième Races-racines » (ibid, I, 108). Logos signifie donc une Collectivité de Forces, d'Êtres, d'Intelligences, unis à leur Sagesse et à leurs pouvoirs.
Pourtant, puisque « de tels centres d'énergie [comme ces Logoï] sont presque innombrables dans le sein de Parabrahman » [l’Absolu] (ibid, I, 428), et puisque la coutume orientale permet aux disciples l'emploi des noms de leurs supérieurs occultes, il peut ne pas sembler être étrange que le nom d’Avalokiteshvara (quoique rendu sacré du fait qu'il est attaché à ce premier et ce second Logos d’une matière si élevée) soit aussi appliqué autrement, et que ce mot ait « passé par plusieurs transformations ». « L'imagination populaire réclame pour Avalokiteshvara bien des incarnations sur terre... mais, dans la philosophie ésotérique, Avaloki, le “veilleur”, est le Soi Supérieur, tandis que “l'Ego supérieur ou Manas” est ce qui se réincarne, en faisant le pont qui l'unit et les principes inférieurs aux deux principes supérieurs. « Quand Buddhi absorbe notre EGOtisme (et le détruit) ... Avalokiteshvara [le Soi Supérieur] devient manifesté pour nous » (ibid, I, XIX).
Dans ces relations subtilement métaphysiques gît une possibilité de confusion exotérique. Avalokiteshvara, comme Âtman [Esprit] peut ne pas être clairement conçu comme focalisé dans l'Ego individuel réincarnant Buddhi-Manasique [Âme spirituelles–Mental supérieur], mais il peut être en partie anthropomorphisé par « l'imagination populaire », pour en faire une personnalisation. Pourtant, par les enseignements de la Théosophie, on apprend à voir dans Avalokiteshvara, comme être humain, la même essence divine, quoiqu'à un degré moindre, que dans le Premier Logos non manifesté et, par cela même, on peut éviter toute confusion quand le nom s'applique au véhicule humain de l'Entité spirituelle. Une telle incarnation et « transformation » peut être dans le fait qu’Avalokiteshvara est « le saint patron du Tibet » et qu'il y eut une importante lamaserie « fondée par lui » (Isis Dévoilée : Isis Unveiled, II, 616).
Les cinq Dhyâni-Buddhas qui ont émané d'Avalokiteshvara comme Second Logos, appartiennent au « monde de l'être incorporel ». Par leur emploi de Dhyâna — qui est la « contemplation entièrement indépendante des sens », « la méditation abstraite et les pouvoirs mystiques » — ils émanent leurs « fils », leurs « Soi célestes, les Bodhisattva supra-humains (S.D., I, 571). Ceux-ci sont également appelés « leurs chhayas (ombres, [modèle du corps astral]), les Bodhisattva des royaumes célestes » (ibid, I, 572). Le passage dans une substance-matière plus dense est clairement indiqué par le mot « ombre » qui est employé dans le sens occulte pour signifier « corps ». Et ce processus continue. Car les Bodhisattva célestes sont « les prototypes des Bodhisattva supraterrestres », et ils s'incarnent au commencement de chaque cycle humain, sur terre, comme des hommes mortels ». Grâce à leur mérite personnel quand ils sont des hommes, ils deviennent occasionnellement des Bodhisattva parmi les Fils de l'Humanité, ils deviennent « des fleurs de minuit de Bouddha », ou « de grands Adeptes initiés ». (La Voix du Silence, pp. 29 et 84).
Des cinq Dhyâni-Bouddhas très élevés, l'un est Amitabha. Ce nom aussi a plusieurs équivalents. Il est employé pour désigner « l'Âge sans borne » (Note 2), « l'Espace illimité Parabrahman », « la Lumière sans borne », quoique « la conception originale... d'une lumière divine impersonnelle ait été anthropomorphisée avec le temps ». Dans le sens le plus haut, en tant que Parabrahman, Amitabha a symboliquement un paradis où il y a deux Bodhisattva, l'un étant Kwan-Shi-Yin (autre nom, comme on l'a vu, pour Avalokiteshvara comme Premier Logos). En tant qu'émanation du Second Logos « Amitabha est le Dhyâni-Bouddha [prototype divin] de Gautama Sakyamuni » (S.D., I, 108).
Du mot Bouddha, les passages cités ont incidemment illustré des emplois variés. Ce terme désigne aussi des Êtres et des degrés qui s’étagent dans l'évolution, et le service, du premier Logos au Sage humain. Tandis que, pour Gautama, « le Réformateur (incarné) le plus grand qui fut jamais connu », c'est un grand compliment d'être appelé le Bouddha. Le fait de limiter cette appellation à lui seul, comme on le fait ordinairement en Occident, montre l'ignorance où l'on est de l'usage oriental.
Bouddha signifie, d'abord, « l'Illuminé », « le plus haut degré de connaissance », « son acquisition par le mérite et les efforts personnels ». Le mot est directement relié à Bodha, Sagesse, et Buddhi, le principe-Sagesse, véhicule de l'Esprit Universel, dans le Kosmos et dans l'homme. En second lieu, le nom est un titre dont on honore un Être qui s'est distingué par la possession et la manifestation de cet état sublime comme Bouddha.
On voit ainsi clairement que Gautama le Bouddha eut de nombreux prédécesseurs ainsi nommés, parmi les humains, dans les âges antérieurs comme des êtres qui avaient atteint l'état de Bouddha et à qui on donna ce titre d'honneur. En réalité, vu dans la longue lignée de l'humanité, Gautama, probablement né en 621 av. J.-C., est plutôt un Bouddha récent.
L’état de Bouddha de Gautama Sakyamuni avait été prédit, et, à sa naissance, il reçut le nom de Bouddha Siddhârtha. Mais, étant homme, il du gagner par lui-même cet état de Bouddha. Et l'histoire de sa personnalité, comme Gautama, le montre fuyant les plaisirs des sens de la cour royale de son père, devenant un dévot, un yogi, et finalement un Bouddha achevé — « entièrement par son propre mérite et... ses efforts » (voir le Theosophical Glossary : Buddha-Siddhârta). Dans les personnalités précédentes, il avait manifesté « le plus haut degré d'altruisme, de sacrifice de soi et de charité ». Et, dans cette personnalité-ci, sa vie fut si irréprochable et sainte qu'à lui, plus qu'à tout autre homme fut décerné ce titre d'honneur : Bouddha. Ce titre finit par s'amalgamer avec lui, en devenant, comme cela s'était produit à sa naissance, une partie intégrante de son nom.
A la fin de sa vie, il refusa « la robe Dharmakâya », c'est-à-dire, qu'il renonça à dessein à la paix et au repos nirvânique qu'il avait gagnés, parce que dans cet état il lui eût été impossible « d'assister les hommes, même dans la faible mesure où Karma le permet ». Au lieu de cela, il choisit de rester un Bouddha de Compassion, un Nirmânakâya, « afin d’endosser les misères » de ce monde. (La Voix du Silence, pp. 93, 58.)
Or, tel est l'Être dont Tsong-Kha-Pa fut un Avatar. Même, si bien des liens échappent à notre compréhension, ou ne peuvent être rendus évidents, cependant quelle chaîne de développement spirituel peut être ressentie ! Quel pouvoir de contrôle sur le corps, le cerveau, le mental et les forces cosmiques était dans son héritage et fut ensuite réellement maîtrisé par Tson-Kha-Pa pour son usage, et rendu opérant dans sa propre vie !
Et puisque Gautama reste, en tant que Nirmânakâya en contact avec l'humanité terrestre, en se manifestant à l’occasion pour son bénéfice, Tsong-Kha-Pa ne doit-il pas être aussi un Nirmânakâya accomplissant exactement le même service que son grand ancêtre spirituel ? Quelle autre supposition pourrait-on faire encore ?
La réponse affirmative, et sa preuve, sont contenues dans l'histoire exquise de ces réapparitions fortuites parmi les Adeptes. La Voix du Silence (pages 24-25) décrit un Yogi assez avancé pour avoir la perception réelle du haut et du bas, du grand et du petit. Il parvient à être « “un Marcheur du Ciel” qui foule les vents au-dessus des vagues, avec ses pas n’effleurent pas les ondes ». « Son corps devient graduellement comme formé de vent .., il observe les choses qui sont au-delà des mers et des étoiles ». Tsong-Kha-Pa est un tel “Marcheur du Ciel”. On nous dit que sa « forme lumineuse... sous l'apparence d'une nuée de feu, qui se sépare des rayons dansants du soleil, s'entretient », dans une immense lamaserie, « avec une grande congrégation de lamas réunis par milliers avec sa voix qui descend des hauteurs, comme le murmure de la brise à travers le feuillage. Et bientôt, disent les Tibétains, la belle apparence s'évanouit parmi les ombres des arbres sacrés dans le parc de la lamaserie ». (Isis Unveiled, II, 616).
[Cet article est traduit de la revue The Theosophical Movement, Bombay, 17 décembre 1936, vol. VII, n°2. Il a été publié en français pour la première fois dans la revue Théosophie, volume VIII, n°9]
Notes :
(1) Toutes les citations, ici traduites en français, sont tirées des ouvrages de H.P. Blavatsky, The Secret Doctrine [La Doctrine Secrète], et Isis Unveiled [Isis Dévoilée], édités en anglais par Theosophy Company (USA).
Les citations de La Clef de la Théosophie et de La Voix du Silence, d’H. P. Blavatsky, sont tirées des éditions de Textes Théosophiques, Paris. Voyez aussi dans le Theosophical Glossary : « Amitabha », « Avalokiteshwara », « Buddha », « Buddha Siddharta », et « Son-kha-pa ». [Note des Editeurs]. [Retour texte]
(2) [Plus précisément c’est Amitayus qui est « l’âge sans borne ». Bha (sanskrit) = lumière] [Retour texte]