Caractère et mission de la Théosophie (citations)
Il nous a paru souhaitable de rassembler dans ce Cahier un certain nombre de citations choisies parmi les écrits d'H.-P. Blavatsky afin de permettre aux lecteurs de découvrir eux-mêmes ce qu'est la Théosophie et ce que devrait être le véritable Théosophe.
Seule, une étude approfondie de la Doctrine Secrète, d'Isis Dévoilée et de La Clef de la Théosophie, permet de se rendre compte que ce qui pourrait tout d'abord paraître simple affirmation est, en fait, tout au long de ces ouvrages, étayé d'arguments solides.
Philosophie véritable et Vérité divine sont des termes interchangeables. Une religion qui craint la lumière ne peut être basée ni sur la vérité, ni sur la philosophie, par conséquent elle doit être erronée. ― Isis Dévoilée, vol. 3, p. 164.
Les hommes et les sociétés, les sectes et les écoles ne sont en ce monde que les éphémères manifestations d'un jour ; la vérité solidement assise sur son rocher inébranlable est seule éternelle et souveraine. ― Isis Dévoilée. Préface, p. 9.
Ce dont nous voulons établir la preuve, c'est qu'à la base de chaque ancienne religion populaire, se trouve la même ancienne doctrine-sagesse, unique et toujours la même, professée et pratiquée par les Initiés de tous pays, lesquels seuls sont au courant de son existence et de son importance. ― Isis Dévoilée, vol. 3, p. 134.
Un cycle succédant à un autre, et une nation apparaissant après l'autre sur la scène du monde, pour jouer son rôle infime dans le drame majestueux de la vie humaine, chaque peuple nouveau évolue sa propre re1igion des traditions ancestrales, en lui imprimant une couleur locale, et la marquant de sa caractéristique individuelle. Tandis que chacune de ces religions possède ses traits distinctifs, au moyen desquels, faute d'autres vestiges archaïques, il est possible d'estimer le degré physique et psychologique de ses créateurs, elles conservent toutes une ressemblance commune avec un prototype unique. Ce culte originel n'est rien autre que la « Religion Sagesse » primitive. ― Isis Dévoilée, vol. 3, p. 291.
Encore quelques siècles, et il n'y aura plus de croyances sectaires dans aucune des grandes religions de l'humanité. Le Brahmanisme et le Bouddhisme, le Christianisme et le Mahométisme disparaîtront tous devant la puissante poussée des faits. ― Isis Dévoilée, vol. 2, pp. 452-453.
La Doctrine ésotérique pourrait fort bien être appelée... la « Doctrine Fil », puisque de même que le Sûtrâtmâ (de la philosophie Védanta) elle traverse et relie entre eux tous les anciens systèmes de philosophie religieuse et... les réconcilie et les explique... Non seulement elle réconcilie les divers systèmes qui sont en conflits apparents, mais elle vérifie les découvertes de la science exacte moderne et indique que certaines d'entre elles doivent nécessairement être correctes, attendu qu'elles sont corroborées par les archives antiques. ― La Doctrine Secrète vol. 2, p. 415.
La profondeur de sa philosophie, la noblesse de son code de morale, ses résultats pratiques si concluants et ses preuves si uniformes, ne sont pas le produit d'une seule génération, ou même d'une seule époque. Il faut que les faits aient été entassés sur les faits, que les déductions soient venues s'ajouter les unes aux autres, que la science ait engendré la science et des myriades d'intelligences humaines les plus éclairées aient approfondi les lois de la nature, pour que cette antique doctrine ait pris une forme concrète. La preuve de l'identité fondamentale des anciennes religions se reconnaît dans la persistance d'un système d'initiation ; dans celle des castes sacerdotales secrètes gardiennes des puissantes paroles mystiques et dans les exhibitions publiques du contrôle sur les forces naturelles, preuve évidente d'un rapport avec les êtres surhumains. ― Isis Dévoilée, vol. 3, p. 134.
La Théosophie est l'essence de toute religion et de la vérité absolue, dont une goutte seulement constitue la base de chaque croyance... Elle est, ici-bas, comme la lumière blanche du spectre solaire, et chaque religion seulement l'une des sept couleurs prismatiques. Chaque rayon de couleur, méconnaissant tous les autres et les déclarant faux avec mépris, prétend non seulement à la suprématie mais affirme être cette lumière blanche elle-même, en condamnant même ses propres nuances de teinte, du clair au foncé, comme autant d'hérésies. Cependant, de même que le soleil de la vérité se lève toujours plus haut au-dessus de l'horizon de la perception des hommes, et que chaque rayon de couleur s'estompe peu à peu jusqu'à ce qu'il soit complètement réabsorbé à son tour, l'humanité finira bien par ne plus être affligée par des polarisations artificielles, pour se trouver alors baignée dans la pure lumière solaire incolore de la vérité éternelle. Et ce sera la vraie Theosophia. ― La Clef de la Théosophie, pp. 73.
De même que le rayon de la lumière blanche est décomposé par le prisme dans les sept couleurs du spectre solaire, de même aussi le rayon de la vérité divine, en passant par le triple prisme de la nature de l'homme s'est brisé en fragments multicolores, dénommés RELIGIONS. Et comme les rayons du spectre se fondent l'un dans l'autre dans des nuances imperceptib1es de même aussi les grandes théologies qui ont paru à des degrés divers de séparation de la source primitive, ont été reliées par des schismes mineurs, des écoles et des branches poussées de l'une et de l'autre. Combinées, leur réunion représente une seule vérité éternelle ; séparées elles ne sont que les ombres de l'erreur humaine et les témoins de son imperfection. ― Isis Dévoilée, vol. 4, p. 394.
La RELIGION-SAGESSE a toujours été une et, comme elle est le dernier mot de toute connaissance humaine possible, elle a été soigneusement préservée. Elle existait depuis de longs âges avant les théosophes alexandrins, elle s'est perpétuée jusqu'à nos jours et elle survivra à toute autre religion et philosophie. ― La Clef de la Théosophie, p. 21.
Il n'y a jamais eu, et il ne peut y avoir plus d'une religion universelle ; car il ne peut y avoir qu'une vérité concernant le Divin. Elle enlace notre globe dans tous les sens, ainsi qu'une immense chaîne, dont l'extrémité supérieure, l'alpha, demeurerait invisible, émanant de la divinité, in statu abscondito avec chaque théologie primitive ; elle ne laisse aucun recoin inexploré, avant que l'autre extrémité, l'oméga retourne rejoindre le point d'où elle émane. C'est sur cette chaîne divine qu'est établie la symbologie exotérique de tous les peuples. ― Isis Dévoilée, vol. 2, p. 377.
Cette doctrine secrète renferme l'alpha et l'oméga de la Science universelle ; c'est là que se trouvent la base et la clé de toutes les connaissances anciennes et modernes ; et c'est seulement dans cette doctrine antiphilosophique que reste enfoui l'absolu dans la philosophie des obscurs problèmes de la vie et de la mort. ― Isis Dévoilée, vol. 2, p. 309.
La Doctrine Secrète était la propriété commune d'innombrables millions d'hommes nés sous des climats différents, à des époques dont l'histoire refuse de s'occuper et auxquelles les Enseignements Esotériques assignent des dates incompatibles avec les théories de la Géologie et de l'Anthropologie. La naissance et l'évolution de la Science Sacrée du Passé se perd dans la nuit des temps et même ce qui est historique — c'est-à-dire ce qui se retrouve disséminé çà et là dans l'antique littérature classique — est presque toujours attribué, par la critique moderne, à un défaut d'observation chez les anciens auteurs ou à la superstition due à l'ignorance de l'antiquité... Ce n'est qu'en mettant sous les yeux du lecteur de nombreuses preuves, tendant toutes à établir, qu'à toutes époques, quelles que fussent les conditions de civilisation et de savoir, les classes instruites de toutes les nations se firent les échos plus ou moins fidèles d'un système identique et de ses traditions fondamentales — que nous pouvons l'amener à constater que tant de courants de la même eau doivent avoir une source commune pour point de départ. ― La Doctrine Secrète, vol. 4, pp. 442-443.
La science occulte a ses traditions invariables depuis les temps préhistoriques. Elle peut se tromper dans les détails : elle ne peut jamais se rendre coupable d'une erreur dans les questions traitant de la Loi universelle, pour la raison bien simple que cette science, que la philosophie qualifie, avec raison, de divine, est née sur des plans supérieurs et a été apportée sur la terre par des Êtres plus éclairés que ne le sera l'homme, même durant la septième Race de la septième Ronde. ― La Doctrine Secrète, vol. 2, p. 288.
Aucune doctrine d'origine humaine, aucune croyance, si sanctifiée qu'elle ait pu être par la coutume et l'antiquité, ne peut être comparée, au point de vue du caractère sacré, à la religion de la Nature. La clef de la Sagesse qui ouvre les lourdes portes conduisant aux arcanes des sanctuaires les plus cachés, ne peut être découverte que dans son sein. ― La Doctrine Secrète, vol. 4, p. 446.
De tout temps, il y a eu des individus qui ont plus ou moins clairement compris les doctrines théosophiques et les ont incorporées au tissu même de leur vie. Ces doctrines ne sont l'exclusivité d'aucune religion et ne se limitent à aucune société ni période. Elles sont l'héritage de toutes les âmes humaines. Chacun est conduit à définir sa propre orthodoxie, selon sa nature et ses besoins, et d'après ses diverses expériences. Cela peut expliquer pourquoi ceux qui s'imaginaient que la Théosophie était une nouvelle religion ont cherché en vain son credo et son rituel. Son credo c'est la Loyauté envers la Vérité, et son rituel consiste à honorer chaque vérité en la mettant en pratique. ― La Clef de la Théosophie, p. 31.
Des voyageurs ont rencontré ces adeptes sur les bords sacrés du Gange, ils les ont frôlés dans les ruines muettes de Thèbes et dans les mystérieuses chambres désertes de Luxor. Des mémoires historiques ont constaté leur présence dans les salons brillamment illuminés de l'aristocratie européenne. On en a rencontré encore dans les plaines arides et désolées du grand Sahara comme dans les cavernes d'Elephanta et de Kurli. On peut en trouver partout, mais ils ne se font connaître qu'à c'eux qui dévouent leur existence à l'étude désintéressée de la vérité, à ceux qui, dès qu'ils sont dans la voie, ne retournent plus en arrière. ― Isis Dévoilée, vol. 1, p. 96.
Ces grands Mahâtmas ou Bouddhas, constituent une propriété commune et universelle ; ce sont des Sages historiques, au moins pour les occultistes qui croient à une telle Hiérarchie de Sages, dont l'existence leur a été prouvée par les érudits de la Fraternité. ― La Doctrine Secrète, vol. 3. p. 527.
Les méthodes employées par nos savants et par nos étudiants des sciences psycho-spirituelles ne diffèrent guère de celles des étudiants des sciences naturelles et physiques... Mais ces domaines que nous explorons se trouvent sur deux plans différents, et nos instruments ne sont pas faits de mains humaines ; pour cette raison peut-être n'en sont-ils que plus sûrs. Les cornues, les accumulateurs et les microscopes du chimiste et du naturaliste peuvent devenir hors d'usage ; le télescope et les instruments d'horlogerie de l'astronome peuvent se détériorer ; nos instruments de mesure, au contraire, sont en dehors de l'influence des conditions météorologiques ou des éléments. ― La Clef de la Théosophie, pp. 102-3.
La magie était considérée comme une science divine qui permettait de participer aux attributs de la divinité elle-même. ― Isis Dévoilée, vol. 1, p. 106.
La MAGIE est la SAGESSE spirituelle ; la nature est l'alliée matérielle, l'élève et la servante du magicien. Un principe vital commun pénètre toute chose, et ce principe peut être contrôlé par la volonté de l'homme. ― Isis Dévoilée, vol. 4, p. 326.
La Théosophie est en vérité la vie, l'esprit intérieur qui fait de toute vraie réforme une réalité vitale, car la Théosophie est la Fraternité Universelle, le fondement même, comme aussi la clef de voûte de tous les mouvements visant à l'amélioration de notre condition. ― Cinq Messages, p. 46.
De même qu'elle a existé éternellement à travers les cycles sans fin du passé, elle existera à jamais à travers l'infinité des temps de l'avenir, car la Théosophie est synonyme de VÉRITÉ ÉTERNELLE. ― La Clef de la Théosophie, p. 317.
La Théosophie, dans son sens abstrait, est la Sagesse Divine, ou l'agrégat des connaissances et de la sagesse qui sont à la base de l'Univers — l'homogénéité du BIEN éternel. Dans son sens concret, elle est l'ensemble complet des éléments de cette Théosophie abstraite que l'homme a obtenu de la Nature sur cette terre, et rien de plus. ― La Clef de la Théosophie, p. 71.
L'éthique est l'âme de la Religion-Sagesse, parce qu'elle fut autrefois la propriété commune des Initiés de toutes les nations. ― La Clef de la Théosophie, p. 27.
L'Éthique de la Théosophie est encore plus nécessaire à l'humanité que les aspects scientifiques des faits psychiques de la nature et de l'homme. ― Cinq Messages, p. 27.
Un véritable théosophe devait mettre en pratique l'idéal moral le plus élevé, s'efforcer de réaliser son unité avec l'humanité entière, et travailler sans cesse pour les autres. ― La Clef de la Théosophie, p. 38.
Celui qui veut devenir un vrai Théosophe doit s'efforcer de mener la vie d'un Théosophe. ― La Clef de la Théosophie.
Nombreux sont ceux qui, n'ayant jamais entendu parler de la Société, sont pourtant des théosophes, sans le savoir, car l'essence de la Théosophie consiste dans l'harmonisation parfaite du divin et de l'humain dans l'homme, dans l'adaptation de ses qualités et de ses aspirations divines et dans leur triomphe sur ses passions animales ou terrestres. La bonté, l'absence de tout mauvais sentiment et de tout égoïsme, la charité, la bonne volonté envers tous les êtres, et la justice parfaite envers les autres comme envers soi-même, sont ses caractéristiques capitales. Celui qui enseigne la Théosophie, prêche l'évangile de la bonne volonté ; et l'inverse est vrai aussi : qui prêche l'évangile de la bonne volonté, enseigne la Théosophie. ― Cinq Messages, pp. 17-18.
Le devoir du Théosophe est de maîtriser et vaincre le soi inférieur au moyen du Soi Supérieur. Se purifier intérieurement et moralement ; ne craindre rien, ni personne, sauf le jugement de sa propre conscience ; ne jamais rien faire à demi — autrement dit, ce qu'on croit bien, le faire ouvertement et hardiment ; ce qu'on croit mal, s'en abstenir entièrement. C'est le devoir du théosophe d'alléger son fardeau en pensant à ce sage conseil d'Épictète : « Ne te laisse détourner de ton devoir par aucun des jugements oiseux que le monde insensé peut porter sur toi, car, comme tu n'as aucun pouvoir sur ses critiques, elles ne devraient pas te préoccuper. » ― La Clef de la Théosophie, p. 254.
Tout vrai théosophe est moralement astreint à sacrifier le personnel à l'impersonnel, son bien-être présent au bénéfice futur des autres. ― La Clef de la Théosophie, p. 295.
Lorsque la nature réelle de la Théosophie sera comprise le préjugé qui malheureusement prévaut contre elle en ce moment disparaîtra. Les théosophes sont, par nécessité, amis de tous les mouvements du monde, tant intellectuels que simplement pratiques, qui visent à l'amélioration des conditions de l'humanité. Nous sommes amis de tous ceux qui luttent contre l'ivrognerie, la cruauté envers les animaux, l'injustice envers les femmes et la corruption dans la société ou le gouvernement, bien que nous ne nous mêlions pas de politique. Nous sommes amis de ceux qui exercent la charité pratique, qui cherchent à alléger un peu le gigantesque fardeau de misère qui écrase les pauvres. ― Cinq Messages, pp. 19-20.
La Théosophie pénétrera peu à peu, comme un levain, la grande masse des gens réfléchis et intelligents, de ses idées nobles et généreuses de Religion, de Devoir et de Philanthropie. Elle brisera lentement, mais sûrement, les entraves de fer des crédos et des dogmes, des préjugés de caste et de classe ; elle détruira les antipathies nationales et raciales, ainsi que les barrières qu'elles ont érigées, et ouvrira ainsi la voie à la réalisation pratique de la Fraternité entre tous les hommes.
Grâce à son enseignement, et à la philosophie qu'elle aura rendue accessible et intelligible au mental moderne, l'Occident apprendra à comprendre et à estimer l'Orient à sa juste valeur. De plus, le développement des pouvoirs et des facultés psychiques, dont les symptômes précurseurs se révèlent déjà en Amérique, s'accomplira d'une manière saine et normale. L'humanité sera sauvée des terribles dangers, à la fois mentaux et corporels, qui sont inévitables quand ce développement a lieu — comme il risque de le faire en ce moment — dans un climat où se déchaînent l'égoïsme et toutes sortes de passions mauvaises. Le développement mental et psychique de l'homme suivra harmonieusement le cours de son amélioration morale, tandis que les circonstances matérielles où il vivra refléteront la paix et la bienveillance fraternelle qui domineront sa pensée, au lieu de la discorde et des conflits que nous voyons partout autour de nous aujourd'hui. ― La Clef de la Théosophie, pp. 318-19.
Le jour où la Théosophie aura accompli sa mission la plus sainte et la plus importante, celle d'arriver à unir solidement par un lien d'amour fraternel un groupe d'hommes de toutes les nationalités, déterminés à se consacrer à un travail purement altruiste, et non pas à une œuvre aux motifs égoïstes, alors seulement la Théosophie s'élèvera au-dessus de tout autre groupe de prétendue Fraternité humaine. Ce sera en vérité un prodige et un miracle : miracle dont l'humanité attend en vain la réalisation depuis dix-huit siècles, et qu'aucune association n'a pu accomplir jusqu'à ce jour. ― Cinq Messages, pp. 15-16.
Il n'en est pas moins vrai que si on infusait un peu de Théosophie pratique dans ces pauvres masses souffrantes, on leur ferait cent fois plus de bien dans la vie qu'en leur faisant ingurgiter toute cette (inutile) information. ― La Clef de la Théosophie, p. 277.
L'avenir [du Mouvement Théosophique] dépendra presque entièrement du degré de désintéressement, de sincérité, de dévouement et finalement — ce qui n'est pas le moins important — de la mesure de connaissance et de sagesse que posséderont ceux de nos membres auxquels il incombera de continuer le travail et de guider la Société après la mort de ses Fondateurs. ― La Clef de la Théosophie, p. 317
Si quelques-uns d'entre vous ont appris quoi que ce soit de mes enseignements, ou ont eu, par mon aide, un éclair de la Vraie Lumière, je vous demande en retour de fortifier la Cause dont le triomphe permettra à cette Vraie Lumière, rendue encore plus éclatante et plus glorieuse par vos efforts individuels et collectifs, d'illuminer le monde. ― Cinq Messages, pp. 54-55.
[Cahier Théosophique n°29, Copyright Textes Théosophiques, Paris. Les citations sont extraites des éditions les plus récentes de Textes Théosophiques, Paris]