Faire connaître les enseignements fondamentaux de la Théosophie originale tels qu'ils ont été transmis dans les écrits de H.P. Blavatsky et de W.Q. Judge.

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LETTRE N°22 - WILLIAM QUAN JUDGE - DISCIPLE ET INSTRUCTEUR

LETTRE N°22 - WILLIAM QUAN JUDGE - DISCIPLE ET INSTRUCTEUR

Archives Lettres 25 Avr, 2019

Mars – Avril 2015
La prochaine Lettre paraîtra le 1er mai 2015. Elle aura pour thème : H.P. Blavatsky et le jour du Lotus Blanc.

Vido22a WQJ oeuvre Vidéo d'un entretien : « L'œuvre littéraire de W.Q. Judge »

Vido22b WQJ Instructeur Disciple Vidéo d'une conférence : « W.Q. Judge et les méthodes originales de travail Théosophique »  new youtube logo large verge medium landscape

Programme des activités

PENSÉE DU MOMENT

« Cherchez à vivre la Vie supérieure en commençant maintenant à purifier vos pensées par des actions aimantes et des paroles justes. » ‒ W.Q. Judge.
« Usons avec précaution de ces messagers vivants qu'on appelle les mots. » ‒ W.Q. Judge.

CŒUR DE LA THÉOSOPHIE

Qui était William Quan Judge – Le disciple

Bref rappel historique

Judge est né en Irlande, à Dublin, en 1851. En 1864, il émigre aux États Unis avec sa famille. Très tôt il se passionne pour le mysticisme et dévore quantité de livres. Il termine ses études à New York, où il devient un avocat d'affaire apprécié. Marié en 1874, il n'aura qu'un enfant qui mourut très jeune. Sa rencontre avec H.P. Blavatsky, en 1874, bouleversera sa vie qui sera dès lors consacrée, en dehors de ses activités professionnelles, à la Théosophie. Il restera son ami fidèle, son digne co-travailleur, et le disciple de ses Maîtres.
William Quan Judge fut l'un des trois principaux fondateurs de la Société Théosophique originelle en 1875, avec H.P. Blavasky et H.S. Olcott. Il se sacrifia à la Cause de la Théosophie, et il fut le principal instigateur du développement du Mouvement Théosophique en Amérique. Il mourut à New York le 21 avril 1896.

Le lien indissoluble entre W. Q. Judge et H.P. Blavatsky

Les enseignements de W. Q. Judge sont les mêmes que ceux de Mme Blavatsky mais présentés d'une manière qui nous est plus accessible.
Il avait rencontré Blavatsky pour la première fois en 1874 (il avait 23 ans) et il eut tout de suite l'impression de l'avoir connue dans des vies antérieures. Elle le reconnut aussi. Elle était le professeur et lui l'élève et elle lui révéla encore une fois les plans de travail. Voici ce que Judge écrivit en 1891 :

« C'est à New York, en 1874, que, pour la première fois dans cette vie, j'ai rencontré H.P.B. A sa demande et par l'intermédiaire du colonel H.S. Olcott, la rencontre eut lieu dans ses appartements d'Irving Place, où elle était alors entourée d'hommes préoccu¬pés, d'intellectuels, de bohèmes, de riches et de pauvres, qui d'ailleurs ne la quittèrent pas tout au long de son orageuse carrière. Ce fut son regard qui m'attira, celui de quelqu'un que j'avais dû connaître dans un lointain passé, dans d'autres vies. Je vis par ce regard — qui jamais ne changea par la suite — qu'elle me reconnut dès cette première heure. Ce n'était pas pour l'interroger sur des philosophies que j'étais venu en sa présence, ni comme un chercheur tâtonnant dans les ténèbres pour retrouver des lumières obscurcies par certaines écoles et théories fantaisistes, mais bien plutôt comme un homme qui, après avoir longtemps erré dans les couloirs de la vie, était en quête des amis qui pourraient lui montrer où avaient été cachés les plans de l'œuvre à réaliser. Elle répondit loyalement à cet appel et révéla à nouveau ces directives — sans donner à leur sujet d'explications verbales, mais en se contentant de les indiquer — puis elle se remit à l'ouvrage. C'était comme si nous nous étions quittés la veille au soir, en laissant inachevés certains détails d'une tâche entreprise dans un but commun. Nous étions comme maître et élève. Frère aîné et frère cadet, tous deux tournés vers un même objectif, mais elle avait la puissance et la connaissance qui n'appartien¬nent qu'aux lions et aux sages. Ainsi, amis dès le début, je me sentis en sécurité. D'autres, je le sais, ont considéré avec suspicion des apparences qu'ils ne pouvaient pas comprendre ; et s'il est vrai qu'ils présentent des preuves nombreuses qui, à les en croire, suffiraient à envoyer en enfer sages et dieux, il n'en est pas moins vrai que c'est uniquement leur aveuglement qui les a empêchés de voir le regard de lion et le cœur de diamant de H.P.B. » ‒ Article de W.Q. Judge « Votre jusqu'à la mort et au-delà, H.P.B. »

Dans son cinquième et dernier message aux Théosophes américains réunis en Congrès de la Section américaine de la Société Théosophique, le 15 avril 1891, Blavatsky écrivait peu de temps avant sa mort :

« FRÈRES THÉOSOPHES,

« J'ai omis à dessein de mentionner mon plus vieil ami et collaborateur, W.Q. Judge, dans le message collectif que je vous ai envoyé. Je pense en effet que les efforts infatigables et pleins d'abnégation qu'il a déployés pour instaurer la Théosophie en Amérique méritent une mention spéciale.
« Sans W.Q. Judge, la Théosophie n'en serait pas au point qu'elle a atteint aujourd'hui aux États-Unis. C'est lui principalement qui a édifié le Mouvement parmi vous ; c'est lui qui, de mille manières, a donné la preuve de son entière loyauté envers les intérêts les plus hauts de la Théosophie et de la Société.
« L'admiration réciproque ne doit jouer aucun rôle dans un Congrès Théosophique, mais l'honneur doit être rendu là où l'honneur est dû. Je saisis avec joie cette opportunité pour affirmer publiquement, par la bouche de mon amie et collègue Annie Besant, ma profonde appréciation du travail de votre Secrétaire Général, et de lui exprimer publiquement, au nom de la Théosophie, mes remerciements les plus sincères et ma gratitude la plus profonde pour la noble tâche qu'il a accomplie et continue d'accomplir. » ‒ H.P. Blavatsky, les Cinq Messages.

On sait, par ailleurs, que W.Q. Judge a rencontré des Adeptes en Amérique du Sud.
Mais les disciples ne sont pas prolixes sur leur vie qui de toute façon doit rester secrète. Ils disent en quelque sorte : « ne regardez pas le doigt de la main mais la direction qu'il indique » et cette direction est celle des enseignements des Maîtres spirituels.
En tant qu'instructeur W.Q. Judge dit dans la préface de son ouvrage l'Océan de Théosophie :

« Des assertions audacieuses y sont faites basées sur la connaissance de l'auteur [...] Le ton de profonde conviction qui peut paraître imprégner ces chapitres n'est dû ni au dogmatisme ni à la suffisance ; il découle de la connaissance basée sur les faits et l'expérience. »

Le rôle de William Quan Judge dans le Mouvement Théosophique

W.Q. Judge n'aura pas l'audace d'écrire des livres « originaux » sur la Théosophie et l'Occultisme, ni l'orgueil de chercher à « améliorer » les écrits d'H.P. Blavatsky. Il traduira fidèlement la pensée de cette dernière en un style qui nous soit plus compréhensible, sans rien ajouter, intercaler, ou soustraire. Il sera un transmetteur, marchant exactement sur les traces de ses prédécesseurs, ce que chacun peut vérifier par lui-même en étudiant ses quelques livres et nombreux articles.
« Vous les reconnaîtrez à leurs fruits » dit la Bible : W.Q. Judge doit être connu par ses écrits, afin de trouver les raisons de le respecter. Sa plume n'a pas la vigueur ni la profondeur de celle de H. P. Blavatsky. Elle était le Messager et lui (avec quelques autres) était un fidèle de ce qu'elle enseignait, et un infatigable transmetteur de ce qu'elle transmettait elle-même. Un de ses proches dira : « Lorsque la "PRÉSENCE" est sur lui, il sait bien ce que d'autres ne font que soupçonner et "deviner". »

Le pionnier du développement de la Théosophie en Amérique

Au moment de la mort de H.P. Blavatsky, Judge qui était Vice-président de la Société Théosophique entière et Secrétaire Général de la Section Américaine, continuera à ensemencer avec les graines qu'elle laissait derrière elle. Il travaillera, humblement, sans se pousser en avant, et sans attirer l'attention sur sa propre personne. Il sera un merveilleux instructeur de la Théosophie, tout dévoué aux enseignements et au service de l'humanité.
Il fût un merveilleux administrateur, dont la connaissance de la nature humaine et la capacité de guider ses semblables furent d'un ordre très élevé qui le mettaient en état de donner une ligne de conduite toujours juste et conforme aux Principes et à l'Ethique de la Théosophie.
En 1886, il créa la revue The Path qui sera un instrument puissant pour la propagation du Mouvement. Sa contribution en articles de grandes valeurs, signés sous différents pseudonymes, révèlent sa maîtrise de l'enseignement, sa profondeur spirituelle, et sa qualité de transmetteur éclairé. Il créa en 1889 la revue The Theosophical Forum qui était un outil de dialogue actif avec les Théosophes dans le monde.
Il travaillera comme un disciple fidèle des Maîtres et de la Cause de la Théosophie pendant vingt-et-un an (trois périodes de sept ans). Frappé par une maladie incurable contractée au cours d'un de ses déplacements professionnels en Amérique centrale, il se battra pour ne pas mourir avant d'avoir suffisamment imprégné le Mouvement du levain de sa connaissance de la Vérité et de son expérience de la méthode du Service de l'Humanité.
Il restera longtemps grandement méconnu ; beaucoup de choses erronées seront dites à son sujet. Si les ennemis de H.P. Blavatsky furent en dehors du Mouvement Théosophique, ceux de son Élève seront à l'intérieur. Tout chercheur honnête peut, et tout Théosophe doit étudier ses écrits pour comprendre la profondeur du mental et du cœur de William Quan Judge.

Un guide vers notre propre nature spirituelle

« On peut trouver la preuve évidente de la grandeur et de la capacité de William Q. Judge, en tant qu'Instructeur, dans ses écrits. [...] On devrait rechercher ces écrits et les étudier en liaison avec ceux d'H.P. Blavatsky. Cette étude amènera à la conviction que tous deux furent de grands Instructeurs — chacun ayant une mission particulière — que l'un et l'autre étaient sui generis, que leur travail était complémentaire et qu'au¬cun d'eux n'a eu et ne pouvait avoir quelque successeur que ce fût. » – Article de Robert Crosbie « Dans les débuts » (Cahier Théosophique N°131, p. 14)
« Le bon sens Théosophique en appelle à chaque être humain dans le monde ; la grande chose est de posséder ce bon sens. W.Q. Judge l'avait par excellence ; son conseil est sûr et bon à suivre. [...]
« Nous considérons que les écrits de W.Q. Judge sont particulièrement adaptés aux besoins des occidentaux. Nous connaissons leurs valeurs. Nous savons, aussi, que le monde en général et les théosophes en particulier ne sont pas conscients de leur existence, et c'est notre désir et intention qu'ils soient connus ; dans toute la mesure où le permettront les circonstances et les opportunités. Ainsi, nous devons nous attacher à notre but, non parce qu'il est le nôtre, mais parce que c'est le plus grand bien et la meilleure chose que nous puissions faire. Afin qu'eux, aussi, puissent voir comme nous voyons ». – R. Crosbie, Le philosophe amical.

Le lien entre l'Orient et l'Occident

Son rôle principal au sein du Mouvement Théosophique sera d'être le lien, l'intermédiaire, entre les hommes et la Fraternité des Maîtres de Sagesse.
Madame Blavatsky dira de W.Q. Judge « qu'il est l'Antaskarana [= l'organe vivant de communication consciente], le chaînon, entre les deux Manas, la pensée américaine et la pensée indienne, ou plutôt la Connaissance ésotérique trans-himalayenne ».

CHRONIQUE (PASSÉ, PRÉSENT, FUTUR)

William Quan Judge – L'instructeur spirituel

L'instructeur spirituel

Du passé : ne regrettez rien

« Le Passé ! Qu'est-il ? Rien. Évanoui ! Congédiez-le. Vous êtes le passé de vous-même. Par conséquent, il ne vous concerne pas en tant que tel. Il ne vous concerne que tel que vous êtes aujourd'hui. En vous, tel que vous existez actuellement, gît tout le passé. Suivez donc la maxime hindoue : « Ne regrette rien, ne sois jamais affligé, mais tranche tous les doutes avec l'épée de la Connaissance spirituelle » (Bhagavad-GÎtâ, IV, 42). Le regret n'engendre que l'erreur. [...] Aussi ne regrettez rien, pas même les plus grandes folies de votre existence, car elles sont passées, tandis qu'il vous faut agir dans le présent, qui est en même temps le passé et le futur. Ainsi donc, avec la connaissance absolue que toutes vos limitations sont dues au karma de la vie passée, ou présente, et avec une ferme confiance, de tous les instants, en ce karma compris comme le juge unique — qui sera bon ou mauvais selon ce que vous l'aurez fait — vous serez capable de supporter tous les événements et de garder votre sérénité, malgré les découragements passagers que tous ressentent mais que chasse toujours la lumière de la Vérité. Le verset suivant explique tout : « Quelle place peut-il y avoir pour l'illusion et quelle place pour le chagrin chez celui qui réfléchit à l'unité de l'Esprit et qui sait que tous les êtres spirituels sont identiques en nature à l'Être Suprême ? » (Isa Upanishad, v. 6, 7). » ‒ W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé,p. 28.

Le présent : que chacun devienne un centre bienfaisant

« Inutile de nous lamenter, [...] puisque nous-mêmes avons contribué, dans un passé éloigné, à faire que le présent soit ce qu'il est. Le seul moyen de changer cette situation est d'agir actuellement de telle sorte que chacun devienne un centre bienfaisant, une force qui contribue à favoriser la « droiture », et qui soit guidée par la sagesse. ‒ W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, p. 102.
« La patience est réellement la chose la meilleure et la plus importante, car elle en implique beaucoup d'autres. Vous ne pouvez pas l'acquérir si vous n'êtes pas calme et prêt à faire face à l'urgence, et comme le calme est nécessaire pour que l'esprit puisse se faire entendre, on se rend compte à quel point la patience est importante. Egalement elle nous empêche de précipiter une affaire : avec la précipitation, nous pouvons écraser un bon œuf, ou faire échouer un bon projet, repousser pour un temps le karma prêt à se manifester et empêcher certains effets bienfaisants de se produire. Aussi, ne faiblissez pas et efforcez-¬vous de pratiquer la patience dans toutes les moindres choses de la vie quotidienne : très vite vous la sentirez se développer et, avec elle, grandiront en vous une force et une influence qui s'exerceront sur les autres, et à leur profit, tandis qu'une aide plus grande et plus sensible vous viendra du côté intérieur des choses. » ‒ W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, p. 181.
« Je ne m'inquiète pas de ce que j'ai été ou de ce qu'un autre a été. Je me préoccupe seulement de ce que je suis à chaque instant. Car, comme chaque moment est, et aussitôt n'est plus, il s'ensuit que si nous pensons au passé, nous oublions le présent et, pendant que nous l'oublions, les instants passent furtivement à côté de nous, pour aller grossir le passé. »‒ W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, p. 28.
« Les difficultés et les frictions accompagnent l'existence, et si tout marchait sans histoire et parfaitement, tout le temps, nous n'aurions rien à faire. Notre mouvement est un mouvement de réforme qui s'attaque au caractère profond de la race humaine et par conséquent nous ne sommes pas parfaits, et les autres membres de la race non plus. Avez-vous jamais réfléchi à cette question : « Que feriez-vous si tous les idéaux relatifs à l'homme étaient réalisés, si l'altruisme était universel ? » Nous devrions émigrer sur quelque autre planète plus mauvaise afin que nos sentiments y trouvent leur expression. Ainsi donc, nous devrions accepter toutes les difficultés comme faisant partie du travail quotidien et nous efforcer d'amener le plus grand nombre possible de personnes, y compris nous-mêmes, à être prêts à aider. » – W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, pp. 205/6.
« Les Maîtres sont soucieux (pour employer un terme de notre langage) de voir le plus grand nombre possible d'êtres humains atteindre l'état de pouvoir et d'amour auquel Ils sont arrivés. Comment, alors, supposer qu'Ils ne donneraient pas Leur aide ? Puisqu'Ils sont Âtman et, en cela, la loi de karma elle-même, Ils sont présents en toutes choses de la vie et dans chaque phase des fluctuations de nos jours et de nos années. Si vous voulez bien stimuler votre foi, en gardant en vue cette perspective, vous vous rendrez bien plus ouverts à Leur aide que vous ne pourrez-vous en rendre compte. » – W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, pp. 97/8.

L'avenir : la cause de l'humanité – la Fraternité Universelle

« Pour chacun, le futur découlera de chaque moment présent. Selon l'usage que nous faisons du moment, nous changeons le niveau qui sera atteint dans l'avenir vers le haut ou vers le bas, pour le bien ou le mal ; l'avenir n'étant qu'un mot pour désigner le présent qui n'est pas encore arrivé, nous devons veiller au présent plus qu'à toute autre chose. Si le présent est plein de doute et d'hésitation, ainsi sera le futur ; s'il est plein de confiance, de calme, d'espoir, de courage et d'intelligence, ainsi également sera l'avenir. » ‒ W.Q. Judge, Les Lettres qui m'ont aidé, p. 101.
« Pratiquer l'altruisme autant que nous le pouvons est la seule façon d'éviter la souffrance dans le futur. [...] Pendant que nous nous efforçons de comprendre et de mettre en pratique l'altruisme, et que nous répandons les doctrines offertes par les Adeptes, en ce qui concerne l'homme, son état actuel, son destin futur et la façon correcte pour lui de vivre, chaque théosophe peut consacrer une partie de son temps à un exercice quotidien de méditation et de concentration, et la totalité de son temps à l'élimination radicale de ses défauts et de ses vices ; lorsqu'il aura progressé quelque peu dans cette voie, le bon karma qu'il aura pu acquérir en travaillant pour la cause de l'humanité (qui est la même que celle de la Fraternité universelle) l'aidera à se préparer pour commencer les pratiques occultes. ‒ W.Q. Judge, « Le courant de pensées et les questions » (Cahier Théosophique n°144)
« W.Q. Judge connaissait le sentier que tous devront parcourir, et on trouvera, réconfort, conseil, avertissement et encouragement partout dans ses écrits et pour chaque circonstance de la vie. Plus nous pénétrons le courant qui émane de Lui – « le plus grand des exilés » - plus rapidement ces choses qui nous harcèlent et nous affligent s'estomperont et disparaîtront. C'est ce que vous avez fait – pénétrer ce courant – c'est votre meilleur karma. Le travail a été pour vous votre « verge et bâton », et c'est une bénédiction pour beaucoup qui sans cela n'auraient jamais eu cette aide. Plus on œuvre dans ce travail, ou un travail similaire, pour d'autres inconnus qui l'attendent, moins il y aura de place pour une pensée ou un sentiment pour quoique ce soit qui n'aide pas ce travail d'une manière ou d'une autre. C'est la forme désirable de « concentration de la pensée sur un seul point ». – R. Crosbie, Le philosophe amical.

Les conseils pour l'éveil intérieur – Le Sentier
En annexe :« Conseils pour l'éveil intérieur », quelques extraits des Lettres qui m'ont aidé de W.Q. Judge.

Bibliographie et bibliographie de William Q. Judge

Epitomé de Théosophie
Echos de l'Orient
Les Aphorismes de Patanjali
La Bhagavad-Gîtâ
Les Notes sur la Bhagavad-Gîtâ (par W.Q. Judge et R. Crosbie)
L'Océan de Théosophie.
Articles en français

Articles en anglais disponibles sur le site ULT Phoenix USA.

DOSSIERS ET ARTICLES

Il est proposé comme lectures complémentaires :

MÉDIATHÈQUE

Il est proposé deux vidéos :

Vido22a WQJ oeuvre Vidéo d'un entretien : « L'œuvre littéraire de W.Q. Judge »

Vido22b WQJ Instructeur Disciple Vidéo d'une conférence : « W.Q. Judge et les méthodes originales de travail Théosophique »

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